Cascade.
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
fh,
copains,
vacances,
piscine,
forêt,
fsoumise,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... sais cela ? Tu es déjà venu ?
De ma question aussi je me souviens. Question sur le genre de la plaisanterie, une provocation un peu comme des blagues lestes que nous échangions tous les quatre.
— Non, on m’a raconté. Et un peu plus loin, d’ailleurs on va y passer, il y a une clairière qui, d’après ce qu’on m’a dit, est beaucoup fréquentée par des couples dont le mari est candauliste ou même parfois pour du SM.
— Ah ! Tous les goûts sont dans la nature.
Maintenant je comprends tous les sous-entendus. L’enfoiré, c’était ici qu’il avait conduit Armelle l’année dernière et comme j’avais saisi comme une nostalgie lorsqu’il avait parlé de cette clairière, il devait en réalité penser que, du fait de ma présence, il ne pourrait pas le renouveler. Le fumier ! L’infâme !
L’inondation de sa maison est une bien faible punition. Si j’avais su, j’aurais mis du poison dans sa nourriture pour qu’il meure dans d’intenses douleurs, lui et sa catin de femme.
Arrête tes conneries. Ne pense pas à des horreurs pareilles. Tu n’as pas le droit. Quelle que soit sa faute, il ne faut même pas penser à ce genre d’extrémités, sinon il ne resterait que des cocus. D’ailleurs Louis n’est pas le seul fautif, Maryse aussi, peut-être encore plus, sans oublier ma chienne de femme chez qui ils ont manifestement trouvé un terrain favorable.
Une nouvelle vengeance germe dans mon esprit de plus en plus torturé par toutes ces pensées. Je reprends la route, mais avec un but. Déjà, trouver un ...
... village pour y faire un achat. Je trouve la boutique.
— Attends-moi là.
— Mais.
— Un mot et je te laisse ici.
Désolé pour les « Mee Too », ma femme en me trompant de la sorte a perdu son droit, que j’avais toujours respecté, de l’égalité entre elle et moi, droits et devoirs. Je la respectais.
Je trouve ce que je cherche. Je reviens à la voiture. Elle regarde le sac plastique, va demander ce que c’est, mais n’ose pas.
La soirée s’est doucement avancée. Je cherche où passer la nuit. On n’est pas si loin de notre lieu de départ et je sais où trouver ce que je veux. Chambre d’hôte dans une petite maison aménagée au fond d’un jardin. Ils proposent un en-cas que j’accepte. Je ne me vois pas aller au resto avec mon humeur.
— Je vais prendre une douche.
— Non, tu restes comme ça.
— Mais je suis…
— Je veux que tu gardes avec toi les traces de tes coucheries. Enlève ton maillot si tu veux et… tiens, mets cette robe.
— Jean, voyons, c’est ridicule, tu te fais du mal…
— Je suis ridicule, C’est ce que tu dis ?
— Non, non c’est juste que… D’accord, je mets cette robe.
Elle a si honte qu’elle cherche à se cacher. Elle n’est plus l’Ève du paradis. La pomme qu’elle a consommée n’est pas que symbolique. Elle en porte la trace.
On mange sans un mot. La nuit tombe lentement.
— Viens.
— On va où ?
— Ne t’inquiète pas, dans un lieu qui te rappellera de bons souvenirs.
Cette remarque la rassure à peine, mais elle obéit.
Son inquiétude est palpable alors que je ...