1. Cascade.


    Datte: 21/06/2023, Catégories: fh, copains, vacances, piscine, forêt, fsoumise, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, attache, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... été au mieux de sa forme. Non, c’est une autre. Je revois la façon dont Roland a profité de sa gorge.
    
    Alors je deviens un autre. Je la bouscule. Je la fais allonger et lui glisse mon mandrin entre les lèvres. Elle ne peut bouger, je la transperce de mon dard. C’est un bâton de chair vengeur qui envahit sa gorge. Je perds toute délicatesse, moi qui toujours, peut me prévaloir d’avoir été un mari et amant toujours à l’écoute de ma partenaire. Jetées aux orties les bonnes intentions, la bonne éducation, la recherche du plaisir de l’autre. J’en ai cure. Ce n’est plus mon épouse, mais une autre.
    
    Je me sens coupable de cette violence. Suis-je devenu un violeur en me comportant ainsi, même si celle que je « possède » est mon épouse depuis tant d’années ? La justice, et pire, les réseaux sociaux pourraient me condamner, me jeter l’opprobre, me désigner à la vindicte populaire. La présomption d’innocente n’existe plus. Pourtant…
    
    Oui, pourtant celle que je maltraite ne crie pas au scandale ni s’enfuit devant tant de puissance. Pire… ou mieux… ses mains parlent pour elle. Elle ne peut crier, la gorge envahie par mon mandrin, mais il me semble vivre ce que j’ai vu, pas plus tard que cet après-midi au bord de la piscine alors que Roland se branlait comme moi je le fais. Une main torture un téton ! L’autre a disparu entre ses cuisses et ce n’est manifestement pas pour appeler au secours ! La pute ! Même avec son mari, cette façon de procéder déclenche son plaisir.
    
    Alors je me ...
    ... libère. Son cou gonfle alors que ma bite se pousse aussi loin que je peux la pousser ? Qui s’en soucie ? En tout cas pas moi qui ne fais pas, ne fait plus dans le détail. Encore quelques va-et-vient et je libère ma jouissance. J’ai été si rapide que je ne peux que me sentir coupable. D’habitude, je fais ce qu’il faut pour la satisfaire. Mais manifestement son plaisir est ailleurs. La forme plus que le fond…
    
    Les bruits sont obscènes. Sa figure n’est que coulures de foutre et de salive. Mais aucune plainte, aucune protestation.
    
    Alors je cherche la corde. Elle ne crie pas alors que je joins ses poignets et lance l’autre extrémité sur la poutre de la chambre pour l’immobiliser. Pas de faux-semblant, pas de « Il suffit de refuser ». En quelques secondes, c’est une prisonnière. Une serviette me sert de « fouet ». Le tissu est moins brutal et pourtant chaque coup sur ses fesses, sur son ventre sont accompagnés par des cris qui très vite perdent de leur intensité. Pire elle se tortille, cherchant, non pas à se protéger, mais m’offrir le meilleur angle.
    
    Je l’avais vu sur les vidéos, j’en vérifie la vérité. Chaque claque est une jouissance. Rien de vraiment douloureux ! Tout est dans le geste ! La symbolique ! Elle aime. Je dois me résoudre à le constater. Je comprends alors qu’avec ses partenaires, c’est un jeu, jeu qui magnifie les sensations.
    
    Je bande à nouveau. Je croyais être le bourreau, je ne suis en réalité que le comparse. Bientôt ces jeux ne me suffisent plus. Elle ...
«12...131415...18»