Cascade.
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
fh,
copains,
vacances,
piscine,
forêt,
fsoumise,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... vrai…
— Tout a changé une fois en vacances. Maryse en chinant était revenue avec toute une série d’objets pour la domination. On a joué avec et puis…
Je n’en peux plus.
— Et puis tu t’es transformée en salope, soumise à leur désir au point d’accepter d’aller où on était tout à l’heure et te laisser baiser par n’importe qui. Il ne t’a pas fallu beaucoup de temps pour passer de la maîtresse de ces enfoirés à leur soumise. Manifestement tu étais prête depuis longtemps, pire tu devais attendre le bon moment. Je ne devais pas te satisfaire pour avoir besoin de ça. Il est vrai qu’à côté de deux hommes, une femme et des jeux pervers, je ne faisais pas le poids.
Voilà c’est dit. Fini les excuses.
— Si au moins tu avais le courage de reconnaître ton vice. Dis-le au moins que ton plaisir c’est d’être traitée comme une chienne en chaleur, dirigée, contrôlée par eux et non pas, une pauvre femme qu’un couple de pervers à dévoyé.
— Non, ce n’est pas…
— Tu veux que je te montre les vidéos que Louis a eu la bonté de faire ? À moins que ce soit un sosie ? Même taille, même couleur de cheveux, même âge, et aussi même tatouage qui te fait leur esclave. Alors ?
Un long silence.
— Tu as raison. C’est vrai. Mais ce que je voulais te dire, te faire comprendre, même si ce n’est pas une excuse, c’est que tout cela s’est passé progressivement.
— Tu pouvais décider à chaque instant d’arrêter. De me revenir, de tout m’avouer et peut-être que tes aveux spontanés auraient servi de ...
... base à mon pardon.
— Oui, oui. Mais c’était trop fort. À chaque fois, je me disais que j’allais tout arrêter, mais je n’y arrivais pas.
— Tu vois, tu reconnais toi même que tu es devenue addicte à cette sexualité.
— Oui, peut-être, mais… avec toi… je pourrais… si tu voulais bien… J’ai bien vu tout à l’heure, dans le bois, que tu n’étais pas insensible…
La garce ! Alors qu’elle était « sur la sellette », il lui a suffi d’un regard pour voir mon trouble. Oui, j’avais été troublé par cette vision. J’avais beau l’avoir imaginée comme une punition, de la voir ainsi, attachée, nue, si belle, si sensuelle malgré les circonstances, m’avait marqué.
Je ne réponds pas. Elle pense avoir trouvé une faille dans ma carapace. Je sens sa main qui se glisse sous le drap pour venir toucher ma verge. Si elle pouvait l’imaginer, moi je n’aurais pas pensé bander dans ce genre de circonstances.
Sa main se serre sur mon mandrin.
— Armelle, arrête !
— Pourquoi ? Oui, pourquoi nous priver de ce que la vie, si bizarre soit-elle, nous propose.
Je ne réponds pas. Moi, le cocu dont la froideur était ma carapace, ma défense, ma muraille, je suis surpris en plein mensonge. Elle me caresse. Le drap se soulève et elle avance, elle rampe tel un serpent. Son venin est ailleurs, sa langue enveloppe mon gland, sa bouche s’ouvre pour me gober. Elle vient sur moi pour être plus confortable. Ce n’est pas la femme que je connais. Pas plus tard qu’hier soir, âpre la vision de Roland, elle avait déjà ...