1. Christine : gym et copinage


    Datte: 21/06/2023, Catégories: ff, fff, inconnu, gymnastiqu, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pudibonderies inutiles entre amies. Chacune aussi appréciant à leur juste valeur la tiédeur d’un épiderme sensible et le moelleux d’une rondeur harmonieuse.
    
    — Tournez votre robinet à fond à gauche, avant de le pousser, conseilla Christine. L’eau arrive assez chaude, mais att…
    
    Le cri de surprise de Chantal la coupa dans sa phrase. Elle eut la présence d’esprit d’ouvrir les bras pour recevoir contre elle le corps nu qui sautait en arrière.
    
    — Hé ! Je ne vous savais pas si impulsive ! J’allais vous dire de prendre garde au premier jet.
    — Suis-je bête ! Merci de m’avoir évité la chute.
    
    La bienséance aurait commandé à Chantal de se dégager aussitôt des bras qui la retenaient. Mais elle prolongea de quelques secondes une étreinte qu’on ne lui refusait pas. La poitrine de Christine était un doux coussin et ses mains se promenèrent furtivement çà et là.
    
    — Que vous avez la peau douce ! Vos fesses, surtout.
    — Pardon d’abuser de votre soutien, s’excusa Chantal en se libérant à regret. Vous êtes bien aimable, et si douce vous aussi…
    
    C’était incongru et convenu à la fois. Elles éclatèrent de rire pour ne pas succomber à la tentation de s’embrasser.
    
    Les deux femmes s’abandonnèrent au ruissellement qui s’interrompit trop vite d’un côté. Fidèle à sa promesse, Chantal vint relancer la douche de Christine. Elle retourna dans son box juste quand la sienne s’arrêtait. Christine lui rendit la politesse pour se trouver confrontée au même problème. À la seconde fois, elles ...
    ... convinrent que la solution adoptée n’était pas viable.
    
    Chaque box était assez spacieux pour accueillir largement plus de deux personnes. Ils avaient d’ailleurs été probablement conçus pour cela. Autant en partager un, se proposèrent-elles. Christine rejoignit donc aussitôt Chantal et le résultat s’avéra probant. Quand l’une se frictionnait le corps, l’autre veillait à maintenir la continuité du débit.
    
    Elles papotèrent librement, sans prêter attention aux frôlements, ou plus, inévitables de leurs anatomies. Le firent-elles exprès ? Peut-être pas, mais elles ne s’en privèrent pas non plus. À deux reprises, un autre liquide que l’eau se mélangea à celle-ci dans l’écoulement. Elles ne le remarquèrent que par un échange de sourires d’excuse complices.
    
    — Vous disiez avoir des filles, s’enquit Christine. Grandes, je crois ?
    — Deux ados, oui. Le bel âge ! Et vous, des enfants ?
    — Trois. Une fille, adolescente aussi, et deux garçons plus jeunes.
    
    Elles se firent part de leurs considérations respectives sur les difficultés, nombreuses, et les joies, plus rares, mais si gratifiantes qui sont le lot des mères. Incidemment, elles apprirent qu’elles avaient été mariées l’une et l’autre.
    
    — Excusez-moi de changer de sujet, dit soudain Chantal. Savez-vous s’il y a du savon ?
    — Je crois avoir vu un de ces porte-savons fixés au mur, au-dessus d’un lavabo. La simple douche doit suffire ici, en général.
    — Il y a des endroits où une douchette serait plus utile…
    — Ah, je vois, rit ...
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