Christine : gym et copinage
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
ff,
fff,
inconnu,
gymnastiqu,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... façon. On parla, on rit et, tout en se séchant, on se félicita réciproquement de la rencontre aussi naturellement que si l’on avait été habillée.
La serviette qu’Alice avait sortie de son casier était un drap de bain. Gris perle artistement orné d’arabesques jaune vif et siglé au monogramme du lieu, il pouvait facilement envelopper deux fois la gracile Alice dans son éponge moelleuse. Elle la proposa sans façon à Christine et Chantal afin qu’elles s’assurent qu’aucune trace humide ne persiste dans leurs aines et leurs entrecuisses.
— Vous avez raison, admit Chantal. C’est désagréable si l’on n’y prend pas garde… Merci.
Elle commença sur le champ à se sécher la fourche en tendant l’autre bout à Christine. Alice les regarda s’étirer les lèvres devant ses yeux pour passer soigneusement le coin de serviette dans l’aine avant de reprendre son bien. Elle n’hésita pas à les imiter, levant comme elles sans honte la cuisse pour s’essuyer le périnée et la raie. L’indécente cocasserie de leurs gestes les fit rire amicalement toutes les trois.
Christine et Chantal se défirent ensuite de leurs charlottes en s’inquiétant pour les cheveux d’Alice qui resteraient sans doute mouillés en dépit des capacités d’absorption du drap d’éponge.
— J’ai un petit sèche-cheveux, les rassura-t-elle en le tirant de son casier. Malheureusement, il ne peut se brancher que dans le vestiaire.
— Ce ne doit pas être un problème, s’étonna Chantal. De toute manière, nous y retournons pour nous ...
... rhabiller. Allez-y, nous vous suivons.
— Non, certaines participantes du dernier cours sont sans doute déjà là.
— Pas grave, affirma laconiquement Christine, entre femmes, hein !
Alice leur expliqua que ce cours était dévolu aux élèves du lycée catholique de filles et que sa directrice, qui le leur dispensait, comme l’accompagnatrice qui les encadrait ne verraient pas d’un très bon œil l’irruption de deux dames nues. Chantal l’admit volontiers et s’étonna en son for intérieur du mouvement d’humeur de Christine.
— Nos vêtements sont pourtant là-bas, maugréa-t-elle. S’il faut attendre que ces demoiselles soient parties, nous finirons par attraper froid !
Malgré le sourire qui atténuait sa remarque, la contrariété qu’elle en ressentait était évidente. Chantal mit cela sur le compte du retard occasionné par la situation et fut reconnaissante à Alice de proposer immédiatement une solution.
— Dites-moi où sont vos affaires, dit-elle en se drapant dans son immense serviette. J’irai les chercher sans choquer personne et vous n’aurez pas à patienter inutilement.
Elle revint trop vite pour que Chantal puisse questionner Christine sur sa réaction inattendue et repartit derechef avec son sèche-cheveux après un bref, mais sincère souhait de les revoir la fois suivante.
— Vous aviez raison, constata Chantal en examinant sa brassière et son cycliste. Je vais suivre votre conseil et me passer de dessous pour rentrer chez moi.
— Vous n’allez pas sortir en tenant ça dans la ...