Christine : gym et copinage
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
ff,
fff,
inconnu,
gymnastiqu,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... elle s’aperçut qu’elle avait poursuivi son action sur les seins.
— Oh, pardon !
— Il n’y a pas de mal, souffla Christine.
Chantal se prêta à son tour au même service sans le trouver indiscret. Très naturellement, elle écarta les bras pour faciliter le passage du tissu sous ses aisselles tandis que Christine s’inquiétait de l’effet que leur présence dénudée avait semblé avoir sur la visiteuse.
— Non, non, Madame, j’ai été surprise… c’est rare que les douches soient occupées
Alice s’était instinctivement à demi tournée pour répondre, offrant son joli profil à l’admiration des deux amies.
— Vous pouvez dire Christine, sourit celle-ci. Bien que je sois désolée que notre plastique ne corresponde pas vraiment aux canons des morphologies que vous côtoyez…
— Non… Si… Mais… bafouilla Alice, celles du cours sont jeunes… enfin… plus jeunes.
— Au moins, c’est franc, s’amusa Chantal.
— Pardon Madame, je ne voulais pas…
— Ça, ce n’est pas gentil, Alice. Vous pourriez m’appeler Chantal. Vous me voyez encore plus vieille que mon amie Christine ?
— Non, non, Mad… euh… Chantal. Ce n’est pas pour ça, euh… Au contraire, euh… Ce n’est pas ce que je voulais dire, je vous promets !
Alice se troublait dans sa crainte d’avoir été discourtoise avec des clientes, dont l’une était en relations professionnelles avec ses patrons et qui prenaient leur douche ensemble. Toute tendue dans son ardeur à se justifier d’un impair, et toute ruisselante, elle en oubliait de se couvrir de ...
... ses mains devant ces deux femmes.
Celles-ci ne se privaient pas d’apprécier l’esthétique d’une anatomie qu’on ne leur cachait pas. Les petits tétons bruns tranchaient sur la peau ambrée des seins, la taille était fine et, entre les hanches fuselées, un étroit triangle pubien formait une flèche plus claire que soulignait une bande noire de poils tenus courts. (Une adepte du mini monokini, pensa Chantal.) La beauté inclinant à la bienveillance, elles arrêtèrent de la taquiner.
— Pardonnez-nous, Alice. Nous plaisantions. Ni Chantal ni moi ne sommes vexées.
Les excuses enjouées de Christine détendirent l’atmosphère et la monitrice s’abandonna sans plus d’appréhension, tant à son exhibition plus ou moins volontaire qu’à des considérations lucides sur les habituées de son cours, jeunes cadres arrogantes ou jeunes mères oisives et prétentieuses. Face à de telles abonnées, et de plus moins âgée qu’elles, Alice n’avait pas la tâche facile pour son premier emploi. Elle fut heureuse d’être comprise et encouragée.
— Vous n’êtes pas comme elles il me semble, conclut-elle. J’espère que vous viendrez longtemps à ce cours. Vous serez un peu mon rayon de soleil.
Elles bavardaient toutes trois maintenant comme de vieilles connaissances. En confiance et souriante, Alice était encore plus charmante. Elle accepta les compliments sur sa silhouette et ses formes sans fausse modestie et se permit quelques conseils, aussi sincères sinon aussi élogieux, qui furent reçus de la meilleure ...