Ce n'est pas moi (2)
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... L’accès par le parking de PL à gauche est plus direct que celui des voitures. Il est vide, je vais à gauche et me gare un peu n’importe comment. Je trottine comme je peux sur mes escarpins. Quelle connerie les hauts talons des fois. Je me jette presque dans les toilettes. Pour être cueillie par une odeur nauséabonde. Le sol est boueux, il y a du papier toilette dans les lavabos et un liquide jaunâtre devant les urinoirs.
— Oooh, vous êtes dégueu les mecs !
Je ressors en trombe et entre côté femme. C’est mieux, je m’engouffre dans la première cabine. Je remonte ma jupe, je baisse collant et culotte. Ah, non, je n’ai plus de culotte. La cuvette me paraît douteuse, pas question que je pose mon cul là-dessus. Je n’ai plus qu’à passer en position de sumo en montant sur la cuvette. Je suis belle comme ça, tiens. J’ai mes chaussures en mains et je m’appuie sur les cloisons pour maintenir mon équilibre. Mon collant est coincé à mes genoux et ma jupe à ma taille. J’ai les jambes écartées et j’expose ma chatte à tous les vents. Mais je peux enfin me soulager. Et ce n’est pas un petit pipi délicat. C’est puissant, odorant et abondant. Alors que je finis, j’entends une voix féminine, plutôt jeune :
— C’est bon tu peux venir. Il n’y a personne.
Et moi alors ? Mince je n’ai pas verrouillé ma cabine. C’est pour ça qu’elle pense être seule. A qui a-t-elle parlé ?
— Merci ma puce. C’est trop crade de l’autre côté.
C’est son petit copain je suppose, vue la jeunesse de sa ...
... voix. Ils parlent un peu et j’écoute comme une espionne. Ils sont à l’université à Paris et rentrent à Metz. Mais on y est presque, pourquoi ils s’arrêtent maintenant ?
— Tu veux que je conduise pour finir ?
— Ça me dérange pas de conduire surtout si tu me suce en même temps.
— Hi, hi, hi. Et moi j’aime bien que tu t’occupes de mes seins quand je suis au volant.
Mais voilà deux petits coquins... J’aimerais bien avoir quelqu’un pour me faire ça. Mon sexe frétille à ces pensées et mes tétons se réveillent.
— Bon, je croyais que tu avais une envie pressante...
C’est vrai ça, pourquoi elle n’est pas déjà dans une cabine ?
— Mon envie pressante, c’est toi...
Ok, je comprends mieux. Au bruit, ils doivent s’embrasser, passionnément. Puis j’entends la fille murmurer des trucs mais le garçon toujours l’embrasser. Elle parle de ses mamelons. Elle a les seins à l’air ? Elle râle un peu plus et se félicite des doigts de son copain sur sa chatte. Ils ne vont pas baiser ici quand même ?
— Allez. Viens-là que je te pompe...
On dirait bien que si. Moi je profite en aveugle de leurs ébats. J’ai le sexe qui est très humide et les seins bien gonflés de désir. J’aimerais bien me caresser mais je ne tiendrai pas en équilibre avec seulement une main. J’essaye quand même mais mon pied gauche glisse un peu. Je lâche ma chaussure et pousse un petit cri de frayeur. Le temps de me remettre de mes émotions, je vois la porte qui est grande ouverte. Ils sont tous les deux-là, ...