Ce n'est pas moi (2)
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... seins de mon soutien-gorge et je me les masse. La porte est ouverte quelqu’un pourrait nous voir. Le risque décuple mes sensations. Je plaque sa bouche contre ma vulve.
— Buvez tout Eric.
A peine j’ai fini ma phrase que je jouis bruyamment. Plusieurs jets de cyprine sont expulsés de ma chatte. Eric boit tout ce qu’il peut et s’en régale. Je le vois s’astiquer la queue en même temps. Je le repousse et il est tout penaud. Je regarde sa belle bite et je le fais se relever.
— Eric. Vous voulez que je vous suce ?
— Oh, oui, s’il vous plait.
J’ai les nichons à l’air, la jupe relevée à la taille. Et pourtant je n’hésite pas à m’accroupir face à la porte, cuisses grandes ouvertes. Je le regarde et je prends plaisir à voir ses yeux implorer la fellation promise. Je ne perds plus de temps et gobe ce pieu qui me faisait tant envie. Je lèche, je suce, je mordille même. Tout y passe : gland, hampe, testicules. Je ne savais pas que j’étais capable de ce genre de performance. Il va jouir, et c’est bien mérité. Je ne me vois pas laisser des traces suspectes au sol. Mes seins, mon visage ce n’est pas possible, je dois retourner travailler. Seule solution c’est qu’il éjacule dans ma bouche et que j’avale. Ça va être une première pour moi. Mais il faut une première à tout et je suis encore très excitée par mon orgasme :
— Éric. Jouissez dans ma bouche.
— Oooh, aaaah, ouiii. Merci.
Son dévouement me fait sourire. J’engloutis sa verge au plus profond de ma gorge. J’ai ...
... les lèvres distendues, le gland s’insinuerait presque dans mon œsophage. Je reprends mes va-et-vient, il faut bien que je respire. Ma main gauche malaxe ses couilles et la droite accompagne mes lèvres pour le branler. Eric grogne et se tend comme un arc. Il explose sur mon palais. Une belle quantité de sperme remplit ma bouche. J’avale mais les jets suivants se suivent à un rythme soutenu. Un peu de sperme s’échappe et coule sur mon menton. Eric crie et râle comme un damné. Je crains qu’on nous entende même du rez-de-chaussée.
Tant pis, de toute façon je suis ravie de l’effet que je lui fais. La source finit par se tarir et je peux enfin me relever. Eric a la queue à l’air et la bouche luisante. Moi j’ai toujours les seins de sortis, la jupe à la taille et la chatte trempée. J’attrape ma culotte et l’utilise mon éponger mon entrejambe et mon menton. Je vais la fourrer dans ma poche de ma veste mais elle va embaumer tout le bureau. Éric est tout heureux et je le sens prêt pour des mots stupides. Ça a été sympa, vraiment jouissif, mais il a été trop obéissant à la fin. Je n’ai pas besoin d’un toutou mais d’un bonhomme qui peut me surprendre. Et puis son sperme est vraiment infect.
— Eric, tenez.
Je lui lance ma culotte. Il la reçoit dans le nez avant de la prendre en main.
— Un petit cadeau d’adieu. Vous ne m’oublierez pas comme ça. Allez, filez vite avant que quelqu’un arrive.
Je le pousse gentiment vers la porte et il n’ose pas protester. J’entends l’ascenseur ...