Une chute de vélo (20)
Datte: 19/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... rencontrer. La pensée de mon existence sans elle, alors que je la tenais simplement entre mes bras, me remplit de bonheur. Mon cœur était gonflé de joie, à un tel point, que mes larmes revinrent, nombreuses, chaudes, elles roulèrent sur mes joues, poursuivirent leur route dans mon cou avant de disparaitre dans l’oreiller. Ce n’est que bien plus tard que je sombrai à mon tour dans le sommeil.
Le lendemain, fut une nouvelle journée de travail, durant laquelle je pensai très souvent à Julie, le regard perdu dans vide. Michel avait dû remarquer quelque chose de différent dans mon attitude, il ne cessait de faire des sous-entendus en me regardant. Il me connaissait depuis longtemps, même si nous n’étions pas intimes. C’est lui qui m’avait formé lorsque j’étais arrivé à ce poste, il y a huit ans, comme j’étais en train de former Damien depuis plusieurs mois. Le soir, je quittai encore le bureau sans demander mon reste, fis au plus vite les quelques emplettes notées sur la liste que Julie avait dressée. Je regagnai mon domicile, une fois de plus, euphorique à l’idée de la retrouver.
Cette fois-ci, c’est elle qui se jeta presque sur moi, me recouvrit de ses caresses et de ses baisers auxquels je répondis avec le plus grand bonheur. Je m’assis dans le canapé du salon pour la garder plus longtemps contre moi et faire durer nos retrouvailles. Quiconque ne nous connaissant pas, pourrait penser que nous nous retrouvions après plusieurs mois de séparation, mais il n’en était rien. ...
... Pour nous, quelques heures nous semblaient une éternité. Julie me poussa sur le côté dans sa fougue amoureuse, je ne résistai pas, et lui laissai prendre le dessus de cet agréable combat entre amoureux.
Assise à cheval sur moi, elle entreprit de déboutonner lentement, un par un, les boutons de ma chemise, et débuta sa tâche par celui du haut. Entre chaque bouton, j’étais recouvert d’embrassades et de léchouilles sensuelles. Dans mon pantalon, mon sexe ne réclamait qu’à sortir. Elle connaissait forcément son état, puisqu’elle était assise dessus depuis le début. Mais Julie n’accélérait pas le rythme, et même, elle prenait son temps. La chemise était suffisamment ouverte pour qu’elle puisse me caresser le torse de plus en plus largement, de plus en plus longtemps entre chaque bouton.
Enfin, la dernière attache fut libérée, elle ouvrit ma chemise en grand, dévoila l’intégralité de mon buste qu’elle s’empressa de recouvrir de ses bisous voraces. Mes mains qui caressaient son corps depuis le début, dessus et dessous son t-shirt, tentèrent de lui retirer, mais elle me fit comprendre qu’il ne fallait pas. Elle avait surement une idée en tête, je la laissai agir à sa guise. Après de longues minutes de ce programme des plus agréables, elle s’allongea sur moi, réclamant un « gros câlin fort ». Je m’exécutai, la serrant contre moi avec plaisir, la gardant ainsi jusqu’à ce qu’elle décide d’y mettre fin.
— Merci mon amour, dit-elle simplement.
— On dirait que c’est moi qui t’ai ...