Deux après-midis dans notre vie - Histoires de Sexe

Deux après-midis dans notre vie

... tout ce petit monde repart. Honnêtement, tu te sens prête à adopter un bébé ?
— Pas vraiment, mon lapin…
— Moi aussi, je ne me sens pas encore d’attaque.

Nous nous regardons quelques instants, puis je dépose un gros baiser sur son front. Remettant mes mains sur la barre du caddie, je reviens à la conversation d’avant :

— Changeons de sujet, ma poupinette, revenons à nos moutons : et pourquoi donc deux hommes ?

Sa réponse fuse, évidente :

— Pour qu’on s’occupe doublement de moi, tiens !
— Dans ce cas, pourquoi pas trois ?
— Commençons par le commencement avec deux, mon lapin.

Lentement, je commence à pousser le chariot :

— Tu aviseras ensuite en fonction du résultat ?
— Oui, on verra. Je sais bien que les femmes sont plus résistantes que les hommes, mais nous avons quand même nos limites.

À ces mots, elle devient pensive :

— Quoique… à vrai dire, je ne connais pas mes propres limites.
— Tu souhaites les connaître ?
— Je ne sais pas, Nathan, je ne sais pas… Peut-être que ça me ferait peur… Peut-être que je ne me reconnaîtrais pas, comme si j’étais une étrangère…
— Oui, je vois…

Nous avançons de quelques pas, puis soudain, elle s’accroche à mon bras, me faisant sentir le moelleux de son sein :

— Pourquoi toutes ces questions, mon gros lapin ?
— Pour savoir, ma poupinette. J’aime tout savoir de toi.
— Encore heureux que je te connais, sinon je pourrais croire que t’es un dangereux monomaniaque !

Poussant toujours le caddie, je lui ...

... adresse un large sourire :

— Je suis en quelque sorte monomaniaque de ma chère épouse !
— Pff ! T’es vraiment un grooos lapin crétin !

Puis sur ces bonnes paroles, nous continuons nos courses.

Le samedi après-midi est très souvent consacré à des activités croustillantes, sorte de récompense de toutes les obligations du matin. Cette nette séparation de la journée me convient parfaitement, faire l’amour lors de la sieste a toujours été un gros plus. Sans oublier qu’on peut recommencer en soirée !

Il est incontestable que la chambre à coucher est un bon endroit, même si le salon n’est pas à dédaigner, ainsi que d’autres pièces de la maison, sauf peut-être les toilettes. Quoique, pour faire dans l’originalité, ce n’est pas triste… enfin bref, passons. C’est dans le lit conjugal que, durant cet après-midi, nous avons prévu de faire des galipettes. Agenouillée sur le lit, Nadine est uniquement vêtue d’une petite nuisette bleutée, fort translucide et fort courte, ce qui dévoile agréablement ses fesses et sa fente dès qu’elle se penche un peu. C’est admirablement calculé pour !

De plus, ses mignons seins tendent de façon excitante le léger tissu de la nuisette.

Comme je possède un esprit pratique, moi aussi je suis agenouillé sur le lit, mais juste derrière ma femme, plaqué contre son dos, ce qui me permet de faire trois choses en même temps : capturer et jouer avec ses seins, la bisouter dans le cou et enfin lui faire sentir dans le creux de ses reins que je ne suis pas ...