Deux après-midis dans notre vie
Datte: 16/06/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couleurs,
candaul,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
init,
initiatiq,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... trop envie ! Dieu que c’est bon d’être en toi !
Avec un sourire perfide, elle me dit :
— Tu passes ton temps à venir te nicher là-dedans ! T’es toujours pas lassé ?
— Tu manges du chocolat tous les jours, ma poupinette. Es-tu lassée pour autant ?
— Euh… c’est pas pareil !
— Pour moi, si ! Tu es mon chocolat à moi !
Excité par cet intrus que ma verge sent distinctement à travers la fine cloison qui sépare les deux antres, je me déchaîne, pistonnant férocement cette petite traînée qui s’amuse à simuler un trio. Tu veux de la bite, ma cochonne ? Tu vas en avoir, dussé-je me décrocher la queue !
Aujourd’hui, je n’ai pas envie de romantisme. Non, je veux du sexe, simplement du sexe.
Parfois des mots crus fusent dans ma tête pendant que je fais l’amour à ma femme, mais il est rare que ceux-ci franchissent mes lèvres. Nadine est moins complexée de ce côté. Le verbe baiser lui est coutumier ; perso, je préfère utiliser des circonvolutions.
Toujours est-il que cette simulation de trio me stimule ! J’ai une envie folle de remplir à fond cette dévergondée, de la faire déborder, de la faire jouir jusqu’à ce qu’elle crie grâce !
Mais je sens que c’est moi qui vais céder le premier, c’est trop bon de… de baiser sa femme de la sorte, et bien que je serre les dents à fond, le flot va bientôt nous submerger tous les deux, moi en sortie et elle en entrée.
— Aaah !
Même si je souhaite rester muet, c’est impossible ! Quand j’éjacule, la tension est si forte qu’il ...
... faut que j’évacue tout de moi, y compris les cris primaux ! Je me vide, je me déverse, je ressemble à un barrage qui vient de céder sous la pression des eaux qu’il retenait captives !
Quand j’éjacule, je ne suis plus moi-même, je suis absent, je suis ailleurs, je touche au nirvana, à la vacuité presque absolue. La plupart des mystiques sont dans le faux : ce n’est pas en méditant comme un malade, en jeûnant comme un débile, en mortifiant son corps comme un taré qu’on atteint les plus hautes sphères. Non, une bonne jouissance vous emmène illico vers le septième ciel, le huitième, le neuvième et j’en passe. Et en moins de deux minutes pour les précoces. Pour ma part, je pense qu’il faut faire durer le plaisir.
Durer le plaisir, c’est bien mon intention ! Je veux faire trente-six fois l’amour à ma belle dévergondée, l’épuiser d’amour, la rendre aussi flasque qu’une baudruche dégonflée, lui faire crier grâce, et lui montrer que c’est moi qui possède la verge ultime, peu importe si un autre comparse ou des autres amants la besognent en même temps que moi.
— Non, non, ma salope, ça ne fait que commencer !
— Gros vicieux, va ! Je veux savoir jusqu’où un salopard comme toi est capable d’aller !
— Tu ne vas pas tarder à le savoir, ma jolie pute !
Alors je me déchaîne, excité à mort par mon rival de plastique enfoncé dans son intimité interdite. Je redeviens bestial, animal, primaire possesseur de ma femelle.
Le temps n’existe plus, il est juste entrecoupé de nos cris ...