Essai Risqué (1)
Datte: 16/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
... de dire ouf, Eric déboutonne sa braguette, dégage son membre qui ne demande qu’à s’échapper de son slip et la prend d’un coup sec. Tellement sec qu’Anne pousse un cri.
— Trois partenaires dans la même journée, c’est du jamais vu, pense-t-elle en encaissant les grands coups de pines de son mari. Et pourtant, mon corps, ou plutôt mon sexe répond, je lubrifie plus que correctement, et les sensations sont là. Il me semble qu’il pourrait être plus dur, plus tendu, plus gros. Anne se dégage alors, se retourne et s’accroupit. Eric n’a pas le temps de réagir que déjà elle l’a en bouche. Sa queue est passée d’un trou à un autre en moins de temps qu’il faut pour le dire.
Anne ne s’attarde pas. Elle se redresse, se retourne, relève elle-même sa jupe, se penche et attend avec envie la verge qui va enflammer son corps. Et cette fois, ça rentre beaucoup mieux. Les mains posées sur le guéridon de l’entrée, Anne encaisse les coups de reins avec délice. Le premier bouton du chemisier s’est défait tout seul, et elle voit ses seins balancer dans le miroir d’en face. Ce miroir qu’elle évite souvent, comme pour ne pas croiser la femme adultère qu’elle est devenue. Mais là ce soir, c’est en adolescente rebelle et salope qu’elle se voit. Et elle se plaît à l’être encore plus.
Lâchant le guéridon, elle déboutonne complètement son chemisier. Eric croise enfin le reflet du miroir et comprend où doivent aller ses mains. Sans douceur, il attrape les deux seins d’Anne et les pétrit, plus qu’il ...
... ne les caresse. Son ventre claque sur ses fesses, et les cris d’Anne viennent se joindre en rythme au bruit du claquement.
Elle mouille de nouveau abondamment. Peut-être encore plus que d’habitude. Est-ce la répétition des assauts de la journée ? Dans cette folle excitation, son désir de sensation semble sans limites. Alors presque machinalement, d’une main, elle récupère la cyprine qui l’inonde et dont le surplus coule le long de ses cuisses, puis fait le tour de sa hanche et vient l’étaler sur son anus. Deux, trois... quatre voyages, fait sa main. Puis l’autre vient la rejoindre. Alors elle écarte ostensiblement les deux hémisphères de sa croupe et laisse s’entrouvrir son petit trou.
A cette vue, Eric jubile. Il y met d’abord son pouce, qui s’enfonce sans forcer. Alors il sort son sexe du fourreau chaud et trempé de sa femme, et entreprend de le glisser dans un autre, plus serré, mais qui ne demande qu’à être élargi. Lentement, comme sa jambe dans les sables mouvants cet été, il voit disparaître son gland, puis la moitié de sa bite. Il ne reconnait plus les cris d’Anne. Il arrête sa poussée. Tous deux respirent bruyamment. Puis toujours lentement, Eric reprend son avancée introspective pour finir par lui planter son dard jusqu’à la garde.
Anne ne dit plus rien et semble surprise que son corps accepte aussi bien la sodomie. Mais ses cris, plus aigus cette fois, reprennent lorsque son mari entame de longs va-et-vient entre ses reins. Longs, lents, mais délicieusement ...