1. Les extrêmes de D à R


    Datte: 15/06/2023, Catégories: fh, jeunes, vacances, campagne, jardin, voiture, caresses, Oral pénétratio, amouroman, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Tu le prends comme ça, mon coco ?
    — C’est toi que je prends, ma jolie !
    — Eh bien, prends-moi à fond, mon salaud, mais fais-moi jouir !
    — Vos désirs sont des ordres, belle garce !
    
    Plein d’entrain, ses mains bien arrimées sur les hanches offertes, Romain se fait un plaisir d’aller et venir dans l’intimité mouillée de sa fiancée, alternant les phases douces avec les périodes plus viriles. Tandis qu’il plonge lentement et profondément, le jeune homme propose :
    
    — Et si tu te masturbais pendant que je fais ton affaire, ma jolie ?
    — Oh ! T’es bien pervers !
    — Je ne veux que ton plaisir, ma chérie, et le mien aussi.
    
    Et il le prouve sans complexe, bien décidé à profiter éhontément de sa fiancée et à la faire jouir par la même occasion. Romain sait comme s’y prendre, alternant les passages tendres avec les étapes plus violentes, en fonction de l’humeur de Delphine. Non, le manuel de fonctionnement de la jeune fille n’est pas aussi simple que de presser un bouton ou de faire tourner un potentiomètre. Il convient d’être adaptatif, et c’est ce qui plaît à sa petite amie.
    
    De ce fait, là maintenant, il agit comme un bourrin, car il sent intuitivement que c’est le bon comportement à avoir. Romain pistonne joyeusement, étant à la limite de l’échauffement malgré un vagin détrempé. Ses mains toujours fermement arrimées sur les hanches, le jeune homme résiste du mieux qu’il peut. Pas question de céder avant d’avoir entendu un premier cri de jouissance.
    
    Haletante, bousculée ...
    ... par les coups de boutoir, Delphine proteste mollement :
    
    — Oh, quel salaud ! T’es qu’un salaud, un gros salaud !
    — Tais-toi et jouis, petite chienne !
    
    À ces mots, la jeune fille vibre, poussant un premier cri. Un autre éclate, plus fort, tandis que son corps tremble complètement sous la jouissance qui s’empare d’elle.
    
    Enfin ! pense tout bas Romain,moi aussi je vais pouvoir me laisser aller !
    
    La pistonnant toujours pour se nicher au plus profond, il l’accompagne dans ses cris, tout en se vidant copieusement dans cet antre si accueillant qui débordera bientôt, les salissant tous les deux, les souillant, mais les rendant si heureux.
    
    Puis vient le flottement, le repos des corps alanguis, épuisés, vidés…
    
    Alanguie sur la couverture, épuisée, vannée, en sueur, Delphine récupère lentement :
    
    — Pfff, je dois être à moitié folle de faire ce genre de chose là !
    — Moi, j’aime beaucoup ce genre de folie !
    — Ben voyons ! Tu en tires avantage !
    — Du moment que je te tire, ma chérie, tout me va !
    — Pfff ! Espèce de gros crétin !
    
    En souriant, il l’attire à lui, elle se vautre toute frêle contre son large torse, ils s’embrassent langoureusement. Malgré l’inconfort et l’exiguïté du lieu, il ne faut pas bien longtemps pour qu’ils recommencent…
    
    Tandis que Delphine range sa chambre, elle entend comme un remue-ménage au rez-de-chaussée, puis des pas lourds et désordonnés dans l’escalier. Peu après, Romain déboule dans la pièce, totalement surexcité :
    
    — Chérie, c’est ...
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