1. La chatte grise de ma voisine Lisette


    Datte: 12/06/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, campagne, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    ... temps que je rentre, mais là, je ne connais plus vraiment le chemin, peux-tu me raccompagner chez moi ?
    
    Je me rhabillai à mon tour et, l’enlaçant, je l’emmenai vers chez elle. Arrivés à l’étang, nous nous désunîmes, nous nous approchions des jeunes qui s’amusaient encore. J’informai mon fils que j’allais raccompagner la voisine et elle, tout sourire, lui dit que s’il voulait voir la chatte presque grise, il pourrait le faire, mais que sa fille en avait une belle brune…
    
    Nous laissâmes les jeunes gens ensemble, mais j’entendis mon fils qui criait : « caresse-la-lui bien, sa chatte grise… » Mais ceci sera une autre histoire !
    
    J’accompagnais Lisette chez elle, l’embrassant, la pelotant partout. Devant sa porte, je me fis plus tendre encore, je lui pris sa bouche, l’embrassant fougueusement. Mes mains se faisaient pressantes, palpant sa poitrine, ses fesses. Elle me repoussa doucement :
    
    — Ne gâchons pas les bonnes choses, j’ai dit demain, quand il fera jour ! Viens manger chez moi à midi, je suis sûre que les jeunes se débrouilleront fort bien ! Nous aurons alors tout le temps, tout l’après-midi et plus encore !
    
    Le lendemain, après avoir soigné mes bêtes, je me douchai et m’habillai un peu mieux qu’un jour ordinaire : un pantalon beige clair, une chemisette et une paire de mocassins au lieu du jean, tee-shirt et baskets habituels. Je fis un saut à la ville voisine pour acheter un bouquet de fleurs. Romantique le bonhomme !
    
    En rentrant, je pris la bouteille de ...
    ... crémant d’Alsace que j’avais mise à rafraîchir puis j’allais – 11 h 30 – sonner à la porte de Lisette. Elle semblait guetter ma venue, car elle m’ouvrit aussitôt ! Un grand sourire éclaira sa figure quand je lui tendis le bouquet :
    
    — Ça fait longtemps qu’on ne m’avait plus offert de fleurs, mon défunt mari trouvait ça ridicule… C’est vraiment gentil !
    
    Et elle m’embrassa sur les deux joues. Puis nos bouches se retrouvèrent, comme la veille et, comme la veille, mes mains partirent en exploration. Lisette était simplement vêtue d’une robe d’été beige, presque de la même couleur que mon pantalon. En la caressant, je sentis ses seins libres sous l’habit, puis, accentuant mes caresses, je me rendis compte que la coquine n’avait pas mis de culotte !
    
    — Je constate qu’une dame est pressée, elle a même oublié de mettre sa petite culotte ce matin, dis-je en lui relevant l’arrière de sa robe pour accéder à ses fesses.
    
    Pour toute réponse elle se serra encore plus contre moi… Je fis deux trois pas en avant, la portant presque et, du pied, repoussai le battant de la porte. Les mains de la belle s’activèrent sur les boutons de ma chemisette, puis sur ceux de mon pantalon, qui tomba à terre. Je l’enjambai, enlevai mon haut puis, d’un geste, fis voler la robe de mon amante. Elle s’agenouilla et enleva mon caleçon.
    
    Le bouquet de fleurs était par terre, la bouteille de crémant, au frais dans le sac isotherme, nous attendait ! Nous nous regardâmes, dans la tenue d’Adam et d’Ève. Mon ...