La chatte grise de ma voisine Lisette
Datte: 12/06/2023,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voisins,
campagne,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
préservati,
pénétratio,
occasion,
Auteur: Nesti, Source: Revebebe
... ennuyé, ne sachant quelle attitude prendre… Elle s’en aperçut, me sourit en disant :
— J’aimais mon mari, mais maintenant il faut continuer à vivre…
Je la menais à l’étang, mon fils et se amis nageaient, prenaient l’apéritif, surveillaient les grillades…
— Vous buvez quoi ?
— Tu bois quoi, faut me dire. Un pastis !
Je la servis, puis la conversation suivit son cours… Je lui ai raconté mon exposition, avec mes succès… Elle m’a dit qu’à la mairie on l’avait prévenue de mon élevage et elle était curieuse de le voir. Les grillades étant à point, nous mangeâmes de bon appétit, arrosant les mets d’un rosé gouleyant…
À la fin du repas, laissant les jeunes seuls, je lui proposai d’aller voir ma chatterie… Elle accepta volontiers et nous nous mîmes en route vers le fond de la propriété. En ce mois de juillet, les nuits étaient longues, et il faisait assez clair… Cependant, peu habituée à marcher sur un sol inégal, elle trébucha et s’accrocha à moi, sa lourde poitrine me frôlant…
— Excuse-moi, je suis maladroite et j’ai bu un peu trop…
— Ce n’est pas grave, nous voilà bientôt arrivés.
Arrivés à la chatterie, j’allumai la lumière pour qu’elle voie mes bêtes, elle en fut étonnée, n’ayant jamais vu des chats aussi grands !
Ne sachant que dire, je lui demandai :
— Mon fils m’a dit que vous avez une chatte, presque grise.
Elle me regarda et j’ai eu l’impression de la voir rougir.
— Je n’ai pas de chatte, du moins à quatre pattes, dit-elle en souriant. Ah, ...
... c’est eux, les voyeurs qui me mataient quand je bronzais nue devant la piscine… et elle éclata de rire.
Je ne savais que dire, quand des miaulements sauvages se firent entendre, des chats de gouttière se battaient. Brusquement une de mes femelles « européennes » surgit, la queue déjà relevée puis, mon matou préféré, « Sauvage », arriva, il la renifla et la monta… le coït fut court… et le matou satisfait, s’éloigna… Lisette me regarda, je la regardai :
— Tu veux voir ma chatte ? Voir si elle est presque grise ?
Je hochai la tête, m’approchai d’elle et l’embrassai, puis tout alla vite, nos vêtements furent enlevés à la hâte. Je la caressai, elle me dit :
— Prends-moi comme le matou ! Je suis prête.
Et elle se mit à quatre pattes ! Sans hésiter, je l’enfilai, effectivement elle était mouillée ! Elle ronronna, feula, cria sous mes coups de boutoir, puis se mit à jouir, m’expulsant presque d’elle ! Je la mordillai à la nuque, fis encore quelques va-et-vient puis éjaculai, me vidant en elle… Je sortis de son vagin, m’étendant dans l’herbe auprès d’elle et la caressai…
— Depuis la mort de mon mari, je n’ai plus fait l’amour, me dit-elle. Mais là, à t’entendre parler de ma chatte, presque grise… tu la verras demain, ce soir il fait trop sombre. Et de voir ces chats copuler, j’ai eu une de ces envies !
Je ne savais quoi répondre, me contentant de l’embrasser partout… elle se releva, enfila sa culotte, son jean, mit le tee-shirt et me dit :
— Je crois qu’il est ...