Aide à domicile (2)
Datte: 10/06/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
campagne,
amour,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
portrait,
prememois,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dentelle, coquins, et elle fit entrer Mélanie dans la cabine d’essayage en lui disant :
— Tu crois que ça me va, ça ? J’ai l’impression d’être un saucisson de Lyon…
— Putain, dis donc, mais t’es vachement bien gaulée ! Si je m’attendais… Bien sûr que ça te va. Tu es superbe, même moi, tu me fais envie.
Elles revinrent par la longère pour poser la multitude de paquets, une vraie garde-robe. Audrey était rouge de plaisir et reçut l’ordre de mettre une tenue « à faire tomber les garçons ». Si bien que quand les deux nigauds arrivèrent pour déjeuner, ils restèrent un instant mâchoires pendantes et bouche bée. Mélanie se marrait derrière sa serviette, elle avait eu le temps de donner à Audrey un trait de mascara et un soupçon de rouge à lèvres. La jeune femme paraissait soudain plus grande et élancée, grâce à des sandales à talons compensés qui la grandissaient de dix centimètres, et à sa natte roulée en chignon au sommet du crâne, cheveux bien tirés. Pour le reste, c’était jean élastique moulant ses jambes au millimètre et petit pull mohair moulant des seins bien mis en valeur par un soutif connu des seules deux femmes. Adieu l’Audrey terne et triste comme un jour sans pain, l’Audrey nouvelle est arrivée avec de belles promesses bien rondes et une jolie silhouette.
— Quoi, dit-elle en louchant, j’ai une punaise sur le nez ?
— N… non, mais… t’es rudement transformée…
— C’est Mélanie la bonne fée. Elle m’a dit de m’habiller « à faire tomber les garçons ». Et ça ne ...
... vous plaît pas ?
Évidemment, ils ne manquèrent pas l’occasion de tomber de leurs chaises et de se rouler par terre. Et à chaque fois qu’Audrey se levait pour aller chercher un plat, deux paires d’yeux la suivaient et les messes basses allaient bon train :
— T’as vu ce cul rond et fendu comme une pêche ?
— Ouais, et ces nib’s ! Incroyable. Elle cachait bien son jeu…
Si bien que, le repas terminé, ils ne quittaient pas la table et que Mélanie dut les mettre dehors. Au programme, décaper les tomettes fraîchement posées de la longère, un boulot harassant, à genoux et au savon noir, mais à l’abri, car il pleuvait des cordes. Ils firent tant et si bien qu’au milieu de l’après-midi ils commencèrent à rapporter les meubles stockés dans la grange et à réaménager l’espace. Des éléments des deux cuisines, ils en composèrent une seule, plus grande et mieux équipée, notant à chaque fois ce qu’il faudrait racheter, mais aussi revendre. Mélanie leur indiqua une source intéressante : son grenier où se trouvaient de vieux meubles de la famille Germain. Ça brossa, lessiva, gratta, ponça, cira et astiqua tout le dimanche, pluvieux également. Le résultat était assez stupéfiant. Le vaste espace un peu vide se remplit de meubles et d’objets détournés, exactement comme s’ils avaient fait les brocantes. L’étagère d’un vaisselier servait de rangement aux CD et DVD, une armoire normande cachait le téléviseur et, au-dessous, un bar à apéritifs, une table ronde aux pieds tournés, laquée en blanc ...