1. La comtesse


    Datte: 10/06/2023, Catégories: f, fh, ff, ffh, hagé, fagée, voisins, bain, forêt, amour, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fouetfesse, portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... indispensable métier de factrice et enfin, moi-même, Lou, ancien professeur de sciences physiques.
    
    À l’énoncé de son nom, Nanou a esquissé une légère flexion des genoux, comme une petite révérence. Voyant cela, Arlette tente bien maladroitement de l’imiter, arrachant un sourire à la comtesse.
    
    — S’il vous plaît, mes amis, gardez votre simplicité. Et puisque Lou vous a présentés par vos prénoms, appelez-moi Gaétane, je vous en prie. Nous sommes voisins de palier, pas dans une réception officielle.
    
    Après quelques échanges de courtoisie, Gaétane nous offre le thé et c’est donc une tasse à la main que j’aborde le sujet principal de notre visite :
    
    — Puisque votre famille vit ici depuis de nombreuses générations, sans doute avez-vous, chère Gaétane, des informations sur le nom de ce lieu : « Fontvieille », l’ancienne source, cette source existe-t-elle encore, et où ?
    — Voilà beaucoup de questions en une seule phrase. Je dois dire que ce sujet ne m’a jusqu’à présent guère préoccupée. C’est même la première fois que je me pose la question.(Elle rit.) Cependant, je crois me rappeler qu’un bisaïeul a écrit une monographie sur le sujet, au XIXe siècle.
    — Ce serait fantastique de la consulter. L’avez-vous ?
    
    Gaétane réfléchit. J’en profite pour jeter un coup d’œil à mes compagnes, assises sur le canapé en face de moi. Voyant mon regard, Arlette attrape l’ourlet de sa robe qui est remontée sur ses cuisses, comme pour se rendre plus décente. En fait, elle la soulève pour ...
    ... exhiber sa chatte. La coquine n’a pas mis de culotte ! J’en suis tout déstabilisé, d’autant plus que, discrètement, Nanou imite son amie. Elles se sont donné le mot, les canailles ! Au plissement étonné des yeux de Gaétane, j’ai la conviction qu’elle a suivi le manège.
    
    Elle reprend cependant, sans rien laisser paraître :
    
    — Autant que je m’en souvienne, cet opuscule se trouve au grenier, avec toutes les archives de ma famille.
    — Ah, le grenier n’a pas été transformé ?
    — Non, cela faisait partie des conditions de mon don à la commune. Je me suis réservé cet appartement pour mon logement et tout le grenier pour y stocker les affaires que je veux donner progressivement, en fonction des besoins des associations que je parraine.
    — Et nous pourrions y aller ?
    — Oui, bien sûr. Je vous y emmènerai, mais pas maintenant. Vous n’êtes pas habillé pour et il doit y régner une chaleur de four. Nous irons un matin, à la fraîche…
    — Merci bien, Gaétane, nous attendrons que vous soyez disponible.
    — Oh, ce sera rapide. Demain, j’ai équitation, mais disons après-demain matin. Je vous attends à sept heures et demie, ici, d’accord ?
    — D’accord. Nous allons maintenant prendre congé.
    
    Nous nous levons et quittons les lieux. Dans le couloir, Gaétane me retient à l’écart et me glisse à l’oreille, avec un clin d’œil :
    
    — Vous ne devez pas vous ennuyer avec ces dames. Malgré l’épaisseur des murs, il m’arrive parfois d’entendre des cris qui ne prêtent pas à confusion. Heureux homme…
    
    — ...
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