1. Petite Marie, je parle de toi


    Datte: 09/06/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, alliance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init, occasion, Auteur: Tony, Source: Revebebe

    ... la réalité n’est pas comme dans ces vidéos pornos que vous regardez sur internet. Faire l’amour, ce n’est pas ça. Et une fellation faite avec amour peut apporter beaucoup de plaisir, et pour l’homme, et pour la femme.
    
    Marie détourna la tête de l’écran pour me regarder et figer son regard dans le mien en attendant la suite.
    
    — Tu sais, je crois qu’une femme aime à sentir le sexe de l’homme gonfler dans sa bouche, le sentir vibrer de désir sous ses coups de langue et sentir la force de son désir entre ses lèvres. De plus, pendant une fellation, c’est la femme qui dirige l’acte et elle a tout pouvoir. C’est elle qui fixe le rythme et qui décide de s’arrêter quand elle le souhaite. Marie, une fellation peut être un jeu sexuel dans le couple et peut se pratiquer en préliminaire. Et la fellation, très souvent, ne va pas à son terme. Il est même très rare qu’il y ait jouissance de l’homme. Donc Marie, c’est à toi de décider comment tu fais la fellation et jusqu’où tu vas.
    
    Après cette longue tirade, un blanc se posa entre nous. Je me rendais compte de ce que je venais de dire et je ne pensais pas que j’aurais pu parler aussi franchement de sexe avec ma jeune belle-fille.
    
    C’est alors que Marie, toujours me fixant du regard, me demanda de façon tout à fait ingénue :
    
    — Tu voudrais bien m’apprendre ?
    
    Je reçus la question comme un coup de poing en plein estomac. Je ne comprenais pas bien ce qu’elle voulait ou alors, je comprenais trop bien.
    
    Pour dire quelque chose et ...
    ... essayer de me sortir de cette situation délicate, j’optai pour une pirouette :
    
    — Marie, je ne sais pas faire de fellation, je n’en ai jamais fait. J’ai toujours été « celui qui subit » ! Et comme dirait le dessinateur Martin Veyron, je ne suis pas assez souple ou pas assez pédé !
    
    Sans prévenir, Marie me sauta dessus et plaqua ses lèvres sur les miennes. Avant que je n’eusse le temps de réagir, elle enfonça sa langue entre mes lèvres et vint forcer ma bouche.
    
    Je plaquai mes mains sur ses épaules et poussai pour me libérer de son étreinte.
    
    — Mais que fais-tu, Marie ? Tu es folle ?
    
    De ses mains, Marie agrippa les deux pans de sa chemise et tira d’un coup sec, arrachant les boutons et ouvrant sa chemise. Ses seins apparurent et s’offrirent à mon regard que je ne pus détourner. Je découvrais qu’elle n’avait pas remis de soutien-gorge après ses ébats avec Colas.
    
    — Je sais qu’ils te plaisent. Profite. Ça fait longtemps que tu en as envie. J’ai remarqué ton regard se poser sur ma poitrine, même si tu essayes à chaque fois d’être discret.
    — Veux-tu bien refermer ta chemise, Marie. Si ta mère nous voyait…
    — Justement, elle est juste à côté. Il me suffit de crier pour la réveiller. Imagine, Tony, si elle débarque dans le salon. Que va-t-elle penser en me voyant, la chemise ouverte et arrachée, et toi avec un braquemart au garde-à-vous ?
    
    Il est vrai que la situation m’avait bien chauffée et je me sentais très à l’étroit dans mon bermuda.
    
    Marie me regarda droit ...
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