Petite Marie, je parle de toi
Datte: 09/06/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
occasion,
Auteur: Tony, Source: Revebebe
Je me présente, je suis Anthony, mais tout le monde m’appelle Tony. J’ai quarante et un ans et je suis en couple avec une jolie blonde de deux ans mon aînée, depuis quatre ans. Cependant notre union n’est officielle que depuis un an. En effet, Sylvie était mariée lorsque nous avons entamé notre relation. Nous travaillons dans la même entreprise informatique depuis six ans, mais ce n’est qu’après deux ans que nous avons franchi le pas. Nous avons donc vécu dans l’infidélité, nous voyant seulement en dehors du travail. Nous allions déjeuner ensemble et finissions dans la voiture comme deux adolescents.
Depuis, Sylvie a divorcé, mais tient à garder son autonomie retrouvée. Si bien que nous ne vivons pas sous le même toit, chacun ayant gardé son appartement, mais pour notre bonheur à tous les deux, nous passons beaucoup plus de temps ensemble.
Sylvie m’a présenté sa fille au début de notre relation officielle que je ne connaissais que de photo. Je l’avais vu grandir et devenir presque une femme à travers les photos que me montrait Sylvie qui partageait avec moi les difficultés qu’elle rencontrait en tant que mère face à une adolescente.
Ainsi, voilà un an que je partage la vie de Sylvie et de sa fille Marie.
C’était un dimanche. J’étais ce soir-là chez Sylvie. Nous dînions en famille, à quatre. Sylvie, moi, Marie et son nouvel ami. Marie, dix-huit ans, à peine arrivée à la fac, avait rencontré un étudiant de sa classe. Il faut dire qu’elle a hérité de sa mère. C’est ...
... une très jolie blonde, fine et élancée, les yeux marron clair, une peau et un teint d’ange, un visage encore un peu juvénile. C’est une jeune fille charmante, toujours un sourire aux lèvres et très avenante. Je pense en effet qu’elle ne doit pas avoir de problème à trouver des prétendants. Peut-être a-t-elle plus de souci à faire le choix et à éconduire les malheureux infortunés.
Nous étions donc tous les quatre à dîner. J’avais sorti un bourgogne Mercurey, grand cru classé, pour accompagner le bon repas que nous avait préparé Sylvie ce soir-là. Et puis, c’était une bonne occasion pour finir élégamment le week-end qui s’était merveilleusement déroulé.
Le repas fut agréable. Colas, l’ami de Marie, était plaisant, d’une bonne conversation et doté d’un humour caustique. Nous avons bien ri, bien mangé et bien bu aussi.
Après le repas, nous nous sommes tous affalés sur le canapé, repus. Marie nous a préparé un café et j’ai sorti du placard la poire que j’avais ramenée une précédente fois.
C’est ce petit digestif qui a fini d’achever Sylvie. Mal à la tête, elle s’est levée et est allée se coucher en nous souhaitant une bonne nuit. Les jeunes en ont profité aussi pour s’éclipser dans la chambre de Marie, me laissant ainsi seul. Je décidai d’allumer la télé pour m’accompagner en cette fin de soirée. Mais c’est avec peu d’intérêt que je regardai le film du dimanche soir sur une chaîne de la TNT.
Ce sont des petits sons aigus qui m’ont réveillé. J’étais allongé sur le ...