1. La détresse de l'aide soignante (2)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... plus elle essayait de me prendre profondément. Prometteur, ai-je pensé. Elle n’arrivait cependant pas à me prendre entièrement, et se reculait en toussant et en laissant couler de la salive sur son menton. Mais elle était terriblement motivée, et c’était terriblement excitant. Je l’ai laissée essayer encore deux ou trois fois, puis j’ai tiré sur ses cheveux pour libérer mon sexe.
    
    — Pas mal, lui ai-je dis alors que c’était bien plus que pas mal. Ça mérite encore un peu d’entraînement, mais pas mal.
    
    — Merci, m’a-t-elle répondu en baissant les yeux.
    
    — Va sur le canapé maintenant.
    
    Julie a fait oui de la tête et s’est levée. Mais au lieu d’aller s’assoir sur le canapé comme je pensais qu’elle le ferais, elle s’est mise à genoux dessus, face au dossier, les fesses tournées vers moi. Elle m’épatait un peu plus, de minute en minute. Je me suis avancé vers elle et ai posé ma main sur sa croupe, caressant le bas de son dos, puis ses fesses rebondies, que j’ai pris plaisir à malaxer. Ma main a alors glissé entre ses jambes, et j’ai découvert qu’elle était complètement trempée. Je pouvais la sentir qui dégoulinait à travers la dentelle de son shorty.
    
    — Dis donc, lui ai-je dis en massant son entre-jambes, on dirait que ça t’excite, tout ça ?
    
    — Oui, m’a-t-elle répondu en soufflant, énormément.
    
    Mon doigt a glissé sous la dentelle et entre ses lèvres avec une facilité déconcertante. Julie s’est mise à gémir, puis, devançant mes questions suivantes, m’a dit:
    
    — J’aime ...
    ... être prise sauvagement... J’aime être soumise...
    
    Les yeux fermés, la tête contre le dossier du canapé, elle m’avait avoué ça comme si elle était sous hypnose. Mais mon sang n’a fait qu’un tour. C’était une perle rare que j’avais sous la main. Ma main, d’ailleurs, s’est du coup faite plus ferme. Elle a lâché un instant son sexe détrempé pour remonter vers ses fesses. Je l’ai caressée une seconde, mais l’instant d’après je l’ai sèchement claquée. Sous le coup de la fessée, Julie s’est cambrée dans un gémissement.
    
    — On va bien s’entendre alors, lui ai-je dis. Baisse ta culotte.
    
    Sans hésiter, Julie s’est exécutée. Elle a baissé son shorty à mi-cuisses seulement, avant d’attraper ses fesses et de les écarter pour tout me dévoiler. Cette fille était géniale ! Je me suis alors approché pour mieux voir son sexe entièrement épilé, ses lèvres ruisselantes, et plus haut, son petit trou plissé. J’y ai à nouveau glissé la main, et deux doigts y sont rentré le plus facilement du monde. Julie s’est mise à gémir. Aussi, je ne l’ai pas faite attendre plus longtemps, et après m’être positionné derrière elle, j’ai poussé mon sexe en elle. Julie s’est mise à grogner de plaisir tandis que je m’enfonçais entièrement en elle, agrippé à ses hanches. Une fois bien en place, j’ai commencé à aller et venir en elle, et Julie grognait de plus en plus fort. J’ai dû lâcher l’une de ses fesses pour lui mettre la main devant la bouche, sans quoi elle allait réveiller Raymond. Ma deuxième main n’est ...