1. La détresse de l'aide soignante (2)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... venir se coller le long de son corps. Je la regardais maintenant avec attention. Ses seins, d’une très belle taille, semblaient pressés de sortir de son soutien-gorge pigeonnant en dentelle rose saumon. Le bas, un shorty, était assorti au soutien-gorge, en dentelle transparente, mais pas assez pour que je puisse bien voir ce qu’il cachait. Je lui ai lancé un sourire et me suis levé à mon tour. Je suis venu me planter face à elle. Si proche qu’elle pouvait sentir mon souffle contre sa peau. Sans la lâcher du regard, j’ai ajouté :
    
    — Le soutien-gorge maintenant.
    
    Julie tentait de fuir mon regard, mais à cette distance, c’était difficile. Elle a passé ses mains derrière son dos, et lentement, s’est séparé de son soutien-gorge, qu’elle a laissé tomber au sol. Sans la lâcher des yeux, j’ai posé ma main sur sa hanche et l’ai remontée jusqu’à attraper l’un de ses seins, que j’ai caressé et malaxé doucement, comme pour en apprécier la valeur. Était-ce le froid ou l’excitation, mais sous mes doigts je sentais ses tétons darder légèrement. Je me suis amusé à en pincer un, très légèrement, entre deux doigts. La réaction de Julie ne s’est pas faite attendre, un gémissement s’est échappé d’entre ses lèvres. J’ai décidé de lâcher son sein, et ai fais un pas en arrière. Je ne voulais pas aller trop vite, et surtout, je voulais la faire languir. J’ai alors commencé à me déshabiller lentement devant elle. Mon tee-shirt d’abord, puis bouton après bouton, mon jean. Je me suis retrouvé ...
    ... face à elle dans un boxer qui ne cachait strictement rien de mon érection. Julie, cette fois, n’avait pas le regard fuyant, bien au contraire. Elle ne décollait plus ses yeux de la bosse que j’avais entre les jambes.
    
    — Je t’en prie, lui ai-je dis, tu peux me l’enlever.
    
    Instinctivement, Julie s’est agenouillée. Elle a pris délicatement l’élastique de mon sous-vêtement entre ses doigts et l’a baissé jusqu’à mes chevilles. Mon sexe lui a sauté au visage. J’ai entendu sa respiration se couper, c’est presque si je pouvais entendre son cœur battre dans sa poitrine. J’ai alors posé ma main sur son crâne.
    
    — Depuis quand tu ne t’es pas retrouvée face à un homme qui bande pour toi ?
    
    Le langage cru était intentionnel. Je sentais qu’elle n’était pas farouche, et qu’elle avait juste besoin qu’on la pousse à libérer sa vraie nature.
    
    — Je... Longtemps, a-t-elle répondu. Trop longtemps.
    
    Et sans attendre quelque directive, elle a pris mon sexe dans sa main. Le contact m’a électrisé. Ses doigts étaient fins et habiles, et sa peau était chaude. Je n’ai pu retenir un léger grognement, qu’elle a pris comme un encouragement. Elle s’est penchée sur moi et, tout en me masturbant très légèrement, a embrassé mon sexe comme elle aurait embrassé un amant, les yeux fermés, entourant sa langue autour. J’ai agrippé ses cheveux un peu plus fermement, et Julie a ouvert la bouche pour gober mon gland. Elle m’a avalé, centimètre par centimètre, et plus je serrais mes doigts autour de sa tresse, ...