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Le prisonnier à la ferme. Un français, une allemande et ses jumelles. (4)
Datte: 05/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... de souvenir remonte à la surface- Gertrude... Il a de la difficulté à paraître naturel, mais réussit à se maîtriser. Les femmes lui racontent qu’il y a 16 ans, un prisonnier de guerre français a passé quelques années dans la ferme de leurs parents et qu’elles se sont mises à sa recherche pour le remercier d’avoir aidé leur mère et leur avoir sauvé la vie. Mais elles attendent une autre occasion de le rencontrer seul pour une conversation plus particulière : L’occasion se présente le lendemain et Gilda lui avoue la raison de leur venue dans ce camping. — Gabriel-On peut t’appeler Gabriel ? Nous avons retrouvé les lettres de maman après son décès. Et avec l’adresse, nous sommes remontées jusqu’à toi. Le prétexte de ton camping nous a permis de venir ici sans trop éveiller de soupçons chez nos maris. Bien sûr, ils savent que leur fils n’est pas d’eux et leur drôle d’histoire, enfin drôle... Pas tant que ça. Mais ils ne savent pas que leur géniteur est un Français-toi... Regarde comme ils te ressemblent. Souviens-toi du pacte- Les liens du sang ! Bien sûr qu’il se souvient de ces deux jeunes filles ingénues qu’il a éveillées à l’amour ! Il est triste en apprenant que Gertrude ...
... n’est plus, mais fier du tour qu’il a joué aux instigateurs d’une telle ignominie. Ce qu’ils ont de l’être surpris à la naissance de ces deux bébés costauds aux cheveux d’un noir de geai ! Il n’a rien caché à sa femme des années de sa captivité et de son aventure avec Gertrude à son retour. Elle lui avait pardonné. Mais ce qu’il avait omis de lui dire, c’est ces trois semaines folles avec les jumelles, doutant de les revoir un jour. C’est un homme droit et honnête et pour elle qui l’a connu jeune, il est sûr qu’elle s’apercevra de la ressemblance frappante entre ces deux jeunes Allemands et lui à leur âge. Gabriel prend son courage à deux mains, lui avouant qu’il est leur père, mais qu’il ne troublera pas leur vie et celles de leurs parents, lui expliquant pourquoi il en était arrivé là à la demande de leur mère. C’est de l’histoire ancienne, sa petite histoire dans la « grande histoire de la guerre » et qu’il ne faut pas remuer le passé. Sa femme l’aime trop et malgré un peu de jalousie, est fière du « pied de nez » que le petit « français » a joué à ces fanatiques. Pendant de nombreuses années, chaque mois de juin, il les a vus grandir et devenir de beaux jeunes hommes. Fin.