Damnation en Héritage
Datte: 04/06/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... ça ? »
Je suis estomaquée par ses propos !
« Vous êtes fou ! J’appelle la police si vous continuez !
— Pas la peine, elle est déjà là, » dit-il en montrant la fenêtre.
Et en effet, par la baie vitrée qui surplombe le parking je peux voir une voiture de police garée. Un officier et un homme en civil descendent du véhicule pour se diriger vers le supermarché.
« Je vais partir. Je laisse tomber le job, je vais passer l’éponge sur votre comportement, mais- »
Je ne finis pas ma phrase, il s’est levé et sa braguette est ouverte. Il sort sa queue ! En plus de ça, à la place de présenter ses excuses il se jette sur moi pour me peloter.
« Lâchez-moi ! AU SECOURS !!! »
Une de ses mains presse mes seins ; son autre main descend vers ma culotte.
« C’est ça, crie, petite pucelle, tu vas crier encore plus quand je vais te fourrer ma queue. »
Je me débats, le gifle et hurle. Je dois braire assez fort, car la porte du bureau s’ouvre sur l’officier. C’est carrément le Bailli, c’est-à-dire le commissaire principal de l’île. Il est connu de tous les Kersiais, et je l’ai rencontré plusieurs fois, il est bien intentionné et m’a paru rassurant. À côté de lui se trouve le Connétable, c’est-à-dire le maire et premier élu de l’île. Ils entrent au moment où le directeur pose sa bouche sur la mienne, sa langue essaie de forcer l’entrée de mes lèvres. Ce qu’il accomplit quand je gueule :
« Au secours ! Ce malade veut me violer !
— Déjà ? Il ne perd pas de temps le ...
... bougre. »
C’est le Bailli qui répond ça… je reste stupéfaite. Qu’est-ce qu’il attend pour lui passer les menottes ? En tout cas, le patron du supermarché arrête ses attouchements. Je vocifère :
« Coffrez-le !
— Bon, écoute bien… Tu travailles pour Monsieur William, donc s’il te demande de le pomper, tu te mets à genoux et tu suces. S’il a envie de te baiser, tu retires ta culotte.
— Mais vous êtes dingue !
— Elles sont fatigantes dans sa famille à ne jamais vouloir nous croire, intervient le Connétable. Ce sera chouette qu’un jour l’une d’entre vous dise "Très bien, Connétable, si vous le dites… ", mais bon, je vais devoir recourir à la paperasse. »
Le Connétable sort une liasse de documents d’une sacoche en cuir. Il les consulte jusqu’à trouver ce qu’il cherche.
« Lis ça. »
J’obéis, c’est visiblement une copie, dessus je peux lire :
«Je soussigné, Monsieur Charles Lavant, souscrit à un emprunt 100 000 (cent mille) écus au bailliage de Kersey afin de payer mes créanciers. En échange, ma femme et les filles de ma famille devront rembourser cet emprunt dès leur premier travail. Quelque soit ce travail, leur employeur aura toute latitude pour exiger d’elles toute activité qu’il souhaite. En supplément de leur travail, tant que la dette ne sera pas intégralement remboursée, mes héritières se mettront au service de la communauté de Kersey de la façon dont celle-ci jugera approprié en fonction de leurs compétences, tant que ces services ne nuisent pas à leur ...