1. Le Vainqueur Confisque Tout


    Datte: 04/06/2023, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... mieux. Tu dois être franche et dissiper tout malaise. Il doit accepter sa défaite. Tu lui es tellement supérieure, tu ne peux plus te contenter de ce perdant.»
    
    Son visage était calme et tendre. J'ai hoché la tête. Tellement honte de mes désirs qui me brûlaient le ventre. Je n'aurais jamais dû me déclarer, mais je l'ai fait. Je n'aurais pas dû le préférer à Léonard, mais je l'ai fait. Je ne devrais pas me sentir reconnaissante d'écarter Léonard, mais je l'étais.
    
    «Tu préfères éviter les malentendus et les chamailleries, n'est-ce pas? J'imagine que tu n'aimes pas la vulgarité, alors c'est mieux que ce soit moi qui parle à Léonard, que je lui présente les faits. Qu'est-ce que tu en penses?»
    
    «Oui. Je ne suis pas sûre de quoi que ce soit. Je préfères que tu le gères.»
    
    Je voulais que William dévalorise Léonard, résolument, qu'il l'humilie en lui confirmant son statut de perdant. William s'est emparé de ma bouche passionnément, profondément. Mon souffle s'est arrêté. Ma tête tournait. Il me contraignait énergiquement, pour que je chavire, pour que je m'abandonne entre ses bras. J'ai senti sa langue m'explorer. Je sentais ses mains tâter doucement mes fesses. Je l'ai senti m'attirer contre lui. Je me sentais si faible. Mes jambes tremblaient.
    
    «Viens» murmurais-je doucement.
    
    «Tu en es sevrée, tu as besoin d'être aimée et possédée de cette façon?»
    
    «Oui» ma voix rauque trahissait mon impatience.
    
    Nous sommes allés dans ma chambre et William m'a déshabillée. ...
    ... Lentement, sans cesser de m'embrasser, de me câliner, de me parler. Il me disait des bêtises, mais je ne l'ai presque pas senti dégrafer mon chemisier, puis mon soutien-gorge, faire glisser ma jupe.
    
    Je sentais ses mains sur moi, dans ma culotte, repousser la fragile barrière vers le bas, sur mes cuisses tremblantes de désir. Je respirais fort malgré sa bouche sur la mienne, je humais son parfum de mâle raffiné. J'ai écarté mes jambes pour lui laisser un meilleur accès à mon intimité.
    
    Je me tenais là, chancelante, une femme de trente-six ans, dans les bras d'un mâle musclé et impérieux de vingt-cinq ans. Doucement, il m'a soulevée et m'a déposée sur le lit, en écartant mes jambes, et sa bouche s'est emparée de mon sexe. Tellement direct! Il était si animal, si persuasif!
    
    «Montre-moi ta chatte pendant que je me déshabille», murmura-t-il. J'ai fait ce qu'il voulait, écartant mes lèvres pour lui.
    
    «Joue avec clitoris» ordonna-t-il. J'ai obéi, soumise à ses désirs, tripotant mon clitoris, tirant dessus pour qu'il se dresse.
    
    Je l'ai regardé se déshabiller. J'ai vu à quel point il était musclé, sec. Et sa grosse bite, mon Dieu, elle était énorme!
    
    Il me regardait me caresser. Tellement arrogant!
    
    «S'il te plaît, William ...» implorais-je, ma voix presque mourante.
    
    «S'il te plaît, William ...?»
    
    «S'il te plaît, William, baise-moi ...»
    
    «S'il te plaît, William, baise-moi et dis à Léonard ...?»
    
    «S'il te plaît, William, baise-moi et dis à Léonard qu'il n'est plus ...
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