Le cobra macassar - Histoires de Sexe

Le cobra macassar

... citation !
— Alors là, tu vois, elle en fait trop ! Elle se décrédibilise direct. « Une p’tite… bite ! ». C’est ridicule !

Bryan rit :

— Eh, qu’est-ce que tu en sais toi ?

« Là, mon gars, tu me tends une perche (si je puis dire) que je vais m’empresser de saisir ! »

— Écoute, comme tu l’as déjà dit, nous sommes entre adultes et on peut parler sans détour. Alors donc, hier soir, ton short transformé en tente canadienne 5 places plus auvent et dépendances m’a donné un aperçu très… convaincant de tes… possibilités d’expansion. Alors, p’tite bite, non, ça, je ne le pense pas. Note bien, je ne préjuge pas de la façon dont tu sais, ou pas, t’en servir…

Cette fois, le grand échalas rigole franchement :

— Non, mais Carou, t’es trop, toi ! Tu me scies !

Reprenant son sérieux, il explique :

— Mais bon, pour être tout à fait franc, je peux un peu comprendre Sidonie : en fait, ça n’a jamais vraiment matché entre nous.
— Comment ça ?
— Ben… la première fois déjà qu’on a… baisé, on ne peut pas dire que ç’a été le grand soir. Mais bon, je me suis dit, les premières fois, souvent, c’est pas top. Et bon, en bagnole, ce n’est pas forcément… Bref, passons. Mais après, chez moi, elle m’a démonté !
— Ah ben tu vois, tout arrive, dis-je sur un ton réjoui parfaitement hypocrite.
— Ah non ! Elle ne m’a pas démonté dans le bon sens ! Je te raconte : on était donc chez moi, sur mon lit, à l’aise. Je venais de la débarrasser de son chemisier et de son soutif, on en était ...

... juste aux… amuse-bouche. Elle commençait à ronronner quand tout à coup, elle se fige, se redresse et me dit :
— Je crois que mon phone est presque à plat, faut que je le charge.

Putain, je suis en train de m’occuper d’elle, de faire monter la mayonnaise et elle, elle pense à son portable ! Pas vraiment concentrée sur la situation ! Là, je n’ai pas le temps de réaliser qu’elle bondit hors du lit et farfouille dans son sac. Elle finit par trouver son portable, replonge pour trouver son chargeur. Elle est debout au pied du paddock, les seins à l’air, joli tableau d’accord, mais son phone dans une main et le chargeur dans l’autre. Là, elle me demande bêtement :

— Où est-ce que je le branche ? J’ai failli lui dire « … dans ton… cul », mais je me suis retenu ! « Là, près de la porte, il y a une prise ! ». « Ah non qu’elle me dit, je ne vais pas le poser par terre : si on marche dessus, il est foutu ! ». T’imagines le topo, je commençais à être légèrement vénère ! « Dans la cuisine, je lui dis sèchement, sur le plan de travail ! ».

Après une lourde respiration, il reprend :

— Bon, j’ai pensé, dans dix secondes, elle est de retour… Mais non, son iPhone chéri sonne et… Miss Pompon décroche bien entendu ! J’ai vite compris que c’était sa grande copine Sonia et que leurs blabla allaient durer trois plombes. Du coup, j’ai voulu la rejoindre dans la cuisine : une super nana à moitié à poil, c’est tentant, il y aurait eu moyen de la… chatouiller un peu, mais elle m’a fait signe ...