1. Le grenier


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, Oral nopéné, fdanus, tutu, Auteur: Cixi, Source: Revebebe

    ... tête en arrière pour la poser contre ton épaule, ta main gauche quitte ma poitrine et descend le long de mon flan, de mon ventre… Tes doigts « marchent » sur ma cuisse jusqu’au bord de ma robe et la font remonter un peu. Je penche mon visage un peu vers le tien tout en fermant les yeux, mais tu ne réponds pas à ma demande implicite d’un baiser, et je n’insiste pas.
    
    Probablement qu’aujourd’hui ça terminera comme la fois d’avant, et celle d’avant aussi, ma bouche qui jouera sur ton sexe, tes doigts qui me caresseront, me fouilleront, mais tu ne déposeras tes lèvres que sur ma joue.Sur ma joue, du bout des lèvres sur le coin des miennes, et tes yeux qui m’en disent bien plus long.Je prends tout ce que tu es prêt à m’offrir, de toute façon, je suis accro. Demain et les jours suivants je vais être en manque, mais aujourd’hui c’est Noël… je profite que tu m’aies appelée pour te rejoindre.
    
    Mes hanches, plus précisément c’est ma hanche gauche que tu viens caresser sous ma robe, le haut de ma cuisse, mes fesses. Au passage, tu frôles ma lingerie sur mon iliaque. Ta main monte et descend le long de ma cuisse, d’abord sur le côté, puis sur le devant. La pulpe des doigts s’aventure à peine sur l’intérieur de mon entrejambe. Mon envie de toi est colossale.
    
    Je glisse mes mains derrière toi, je caresse tes hanches également et tes fesses.
    
    Mes seins et mes tétons se tendent dans ce halo de lumière, sous tes doigts, tes paumes, et mes envies grimpent fortement.
    
    Dis ? Si ...
    ... j’appuie sur le stop du chrono de ta montre, est-ce que le temps va s’arrêter ? Hein, dis ?Alors je m’ouvre à tous mes sens pour ne perdre aucune miette de fraction de seconde.Je m’abandonne pour vivre pleinement ce moment, pour n’être qu’ici, qu’à cet endroit et avec toi.
    
    C’est maintenant ta main droite qui délaisse mon sein. Elle prend le même chemin que son alter symétrique en se faufilant sous ma robe, puis sous ma lingerie. Tu as réussi à glisser ta main, à écarter ma culotte sans même frôler mon pubis.
    
    Mais comment t’as fait ? J’en lâche un gémissement, je peste intérieurement que tu me laisses languir à ce point, et j’en jouis tout autant ! Tu me rends dingue…
    
    Ta main en coupe dans ma culotte est à quelques centimètres de mon sexe, je sais que si tu l’approchais un peu, elle se calerait, prendrait possession complète de mon intimité. Ton poignet se placerait à la naissance de mon pubis, ta paume l’envelopperait délicieusement, et enfin tes doigts trouveraient naturellement leur place sur ma vulve, on ne peut plus palpitante.
    
    Ton index et annulaire caresseraient mes lèvres, et ton majeur… ton majeur pourrait à sa guise, à ta guise, titiller mon bouton, frôler ma fente, parcourir sa longueur ou d’un mouvement de poignet coulisser dans ma moiteur.
    
    Oh ! Merde… C’est si bon… N’empêche que t’en loupes pas une pour nous trouver un endroit pas confort… Entre les sièges baquets de ta voiture sport et ce grenier poussiéreux…
    
    Tu lâches à ton tour, en retirant ta main ...