1. Le grenier


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, Oral nopéné, fdanus, tutu, Auteur: Cixi, Source: Revebebe

    — Agréable et raisonnable ça finit pareil, mais est-ce que ça n’est pas incompatible ? m’avait-il dit, un sein dans chaque main.
    
    Allons allons, si tu avais vraiment eu l’intention d’être raisonnable, tu ne m’aurais pas envoyé cet email pour me dire que tu serais chez ton père… seul.Nous deux, c’est une tension sexuelle absolument délicieuse. On se cherche des yeux tout le temps, on n’arrête pas de se toucher dès qu’on est seuls.Toutes les excuses, qu’on ne cherche même pas, sont bonnes pour se toucher, se prendre dans les bras, se serrer l’un contre l’autre.
    
    ***
    
    On est dans le grenier face à la petite fenêtre par laquelle filtre le soleil. Tu m’as fait visiter toute la maison, à croire que tu y cherchais « l’endroit » où tu te sentirais en sécurité pour me tenir un peu plus contre toi, malgré toi.
    
    Du grenier, on voit le jardin, et les arbres qui dansent avec le vent. Il fait vraiment bon en cet après-midi de septembre…
    
    La vitre est pleine de poussière et quelques toiles d’araignées virevoltent ça et là, au gré des mouvements d’air. Sous nos pieds, des planches et pas mal de poussière, ça crépite quand on marche.
    
    Le scénario se répète un peu chaque fois. J’arrive, je regarde tes yeux… Ça y est… je craque. Je me fais pourtant la leçon chaque fois, mais je craque. Paradoxalement, je sais au fond de moi que je vais m’abandonner à l’instant même où j’accepte ton invitation, où je monte dans ma voiture.Vis-à-vis de toi, j’ai l’impression de n’être qu’un aimant, et ...
    ... respirer, toucher ta peau est mon seul objectif.
    
    Le reflet dans la vitre sale est superbe. Je me fais même la réflexion que ça ferait une très jolie photo de charme.
    
    Tu es dans mon dos, les bretelles de ma robe rouge et de mon soutien-gorge sont descendues sur mes bras.
    
    C’est délicieux, on ne devrait pas… Mais on se cherche, se titille, se touche… C’est un peu comme si on prolongeait, vous savez, cette fraction de seconde qui fait basculer notre volonté, et céder au désir.
    
    À pleines mains tu caresses mes seins. Le reflet dans la vitre s’érotise. Je vois dans cette vitre ma poitrine qui se dénude sous un rai de soleil et de poussières.
    
    Le cadrage de l’image ?
    
    Je ne vois que mon cou jusqu’au rouge de ma robe descendue maintenant à hauteur de mes reins, tes mains enveloppantes, tendres et viriles à la fois, et tes épaules larges derrière moi.
    
    ***
    
    — Agréable et raisonnable ça finit pareil, mais est-ce que ça n’est pas incompatible ?
    
    Je te réponds d’un seul mot :
    
    — Rarement.
    
    Tu lâches un « mais… » qui clôture cette discussion à peine entamée et envoie un appel d’air sur le désir qui me tourmente.
    
    Je recule d’un tout petit pas pour m’adosser vraiment à toi.
    
    J’adore ton odeur, même si je dirais que tu n’en as pas vraiment. Ça m’enveloppe.Surtout ne penser à rien.
    
    Tu prends ton temps pour me caresser, on dirait presque que tu cherches à mémoriser la forme, le galbe de mes seins. On se cale l’un contre l’autre, tandis que je bascule un peu ma ...
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