1. La Versaillaise


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fh, fplusag, vacances, plage, vengeance, Oral pénétratio, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... plus en plus haute, étonnée à chaque fois que le dard reste encore en elle.
    
    Je les regarde et je me déshabille. Moi, je n’ai qu’un polo et mon short. Je suis nue. Alex me fait un signe de connaisseur. Aurore me découvre à côté d’elle.
    
    Alors moi aussi, je monte sur le lit, mais en enjambant la poitrine de mon mec et en faisant face à la cavalière. Ma chatte trouve le chemin des lèvres d’Alex qui entreprend aussitôt de me lécher. Je suis assise sur son visage et je me penche pour me rapprocher d’Aurore. Nos visages sont face à face, si près que je ne sais si c’est l’une ou l’autre, mais que nous nous rejoignons pour un baiser. Un baiser et quatre mains qui partent à l’exploration. La poitrine d’Aurore n’est plus pour moi une terre vierge, mais la mienne apprécie que des mains exploratrices s’en emparent.
    
    Elle s’empale lentement, plus en ondulant qu’en montant et descendant. Et puis je glisse une main vers son clitoris. De longues secondes, je la caresse sans jamais quitter ses lèvres. Elle apprécie. Son souffle me transmet un grondement venu du fond de son ventre. Un grondement que bientôt mes lèvres ne peuvent plus contenir. Elle bouge aussi, s’échappant de mon étreinte, dans un mouvement de piston. Elle se baise et s’empale maintenant sur le vit sombre qu’elle libère une fraction de seconde avant de l’engloutir avec une passion qui l’envahit.
    
    C’est une femme. Une femelle que le désir a libérée pour la réduire à un corps qui veut sa part de plaisir. Un peu ...
    ... comme ces femmes que nous rencontrons parfois, plus entraînée par leur mari que par leur propre volonté. Ces femmes qui n’osent d’abord pas. Le regard de leur mari les paralyse. Mais de le voir avec moi fait déjà sauter une partie du blocage. Il suffit aussi que nous fassions semblant de ne plus nous occuper d’elle, alors ne se sentant plus le centre d’intérêt, avec le savoir-faire et surtout la beauté sauvage de mon copain, alors la robe de bure, du « qu’en-dira-t-on » se déchire et elle se laisse emporter.
    
    Aurore est le désir vivant. Son regard se perd dans le vide. Tout son esprit est concentré sur ce qu’elle se fait. C’est beau. Elle est belle, magnifique, sa poitrine oscillant au rythme de ses mouvements. Elle n’a plus besoin de moi. Alex n’est plus qu’un mandrin qui lui fait du bien.
    
    Alex qui me chasse, qui bouscule sa cavalière, qui la renverse, qui l’installe en levrette et qui, d’un coup de reins magnifique, la possède à nouveau.
    
    Le mâle, dans toute sa puissance agrippe les hanches de la chienne. Il la bourre maintenant avec une violence inouïe. Elle va protester, probablement pas habituée à de telles envolées. Mais non. Elle gémit. Elle crie. Elle se tortille telle une salope qu’un inconnu enfile à la sauvette.
    
    Alex attrape la longue tresse de sa chevelure. Il lui tire la tête en arrière, l’obligeant à se cambrer encore un peu plus.
    
    Elle jouit. Sa jouissance se perd dans des paroles inaudibles que sa bouche ouverte laisse échapper. Mais Alex semble ...
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