1. La Versaillaise


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fh, fplusag, vacances, plage, vengeance, Oral pénétratio, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    On avait découvert cet endroit l’année dernière. Il faut dire que même de loin, cette avancée de sable, avec peut-être un fond rocheux qui servait de base, était impressionnante. Elle avançait vers l’océan, mais dans un mouvement tournant pour former comme une digue qu’on imaginait dans un avenir proche, fermer complètement et assécher l’anse, pour l’instant encore en communication, à marée haute, avec la mer.
    
    Il faut bien trois heures de marche et sans véritable arrêt, pour en faire le tour. On part du côté « anse » avec une végétation comme des roseaux et des plantes qui résistent au sel. Par endroit, sur des hauteurs, que l’eau ne peut atteindre, quelques arbres sont les seuls endroits où l’on peut s’abriter un peu. Mais arrivés à l’extrémité de la dune, on revient, côté grand large. La plage est magnifique et l’océan montre toute sa puissance par des rouleaux qui ne faut pas chercher à affronter les jours un peu venteux.
    
    C’est une plage en pente douce. À marée descendante des piscines naturelles se forment et c’est un délice de se tremper dans cette eau que le soleil chauffe. Dès qu’on s’éloigne du parking, les touristes se font rares. Ce n’est pas une nouveauté de découvrir que les gens sont « feignants ». On peut comprendre pour les familles, mais les autres… Pourtant, c’est d’une autre façon que se fait la sélection.
    
    Ce n’est pas une plage naturiste, mais l’isolement et la beauté de la nature sauvage s’en chargent. À mesure que l’on s’éloigne, les gens sont ...
    ... séparés par des dizaines et puis des centaines de mètres. La première fois, on avait pensé que les coupe-vent servaient pour conserver une intimité et se cacher des passants. Des passants, il y en avait peu ou alors des candidats à la nudité sans voyeurs. Maïs manifestement la première fonction était bien de se protéger du vent.
    
    Je me disais que c’est vraiment un endroit merveilleux. Adam et Ève au paradis terrestre. Sauf que, si je pouvais passer pour Ève, Alex faisait un Adam que la bible n’aurait pas imaginé ou alors négligé. Ève avait fauté pour une pomme, moi, je dirais plutôt que je fais un sans-faute.
    
    Je sens son sexe gonflé dans ma gorge. L’eau de la piscine à beau être chaude, ce n’est rien comparé à la tiédeur de ma bouche, la douceur de mes lèvres, l’agilité de ma langue. Déjà il est si gros qu’il me repousse. J’ai pris une tige souple, c’est un bâton que je suce. En réalité, c’est moi qui recule devant l’avancée du dard et le gland qui bute contre le fond de ma gorge. Je n’ai vu qu’une fois une femme capable de le prendre tout en bouche. Bel exploit qui lui a attiré les remerciements d’Alex et mon admiration, sans parler des quelques spectateurs. On était au club et un pari stupide avait été relevé. Un homme, mari qui accompagnait son épouse avait affirmé que sa femme était capable de « bouffer n’importe quelle bite ». On avait perdu le pari et tous les spectateurs avec nous. Cela avait permis de diluer le prix des bouteilles de champagne. Mais quel souvenir ...
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