Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... l’est… ou du moins, elle le fut comme en témoigne un restant de musculature souple qui se dessine sous sa peau. Il lui reste une souplesse dans sa démarche qui lui fait tendre les muscles des mollets bien ronds sur ses fines chevilles que rehaussent des talons compensés de trois centimètres.
Comme toujours, mon examen des silhouettes commence par les extrémités. Une tête suivie d’un cou long et entouré d’un fin collier fait de lacets noirs fermés sur une paire de menottes en or blanc. Des pieds chaussés par des sandales rehaussées sur semelles de liège. Je remonte le long des jambes et - ô splendeur - ses hanches et son bassin sont ceux d’une femme bien en chair que les maternités n’ont pas trop déformée. Et je reste un long moment à contempler ses fesses, deux hémisphères quasiment parfaits qui ondulent en chaloupant alors que, me regardant, elle commence à avancer vers moi, le concierge lui ayant signifié que je me trouvais au pied de l’ascenseur du grand lobby. Sa robe lui colle à la peau. Porte-t-elle des dessous ? Avec cette chaleur, ils seraient plus gênants qu’utiles. Je ne devine même pas la saillie de fins élastiques soulignant le bord inférieur de ses fesses. Sa jeunesse sportive éclate lorsque je constate qu’il n’y a même pas une « goutte d’huile » qui rompe l’harmonie du demi-cercle soulignant les plis fessiers à leur jonction avec les cuisses. Cette jeune femme n’a pas une once de cellulite, j’en fais le pari et elle n’aura jamais besoin de botox, ...
... elle.
Mon regard reprend son ascension et, surmontant son ventre bien plat, s’attarde sur son décolleté en carré révélant plus que la naissance de ses deux seins au port altier séparés par une gorge étroite et profonde où seul mon médius pourrait s’infiltrer. Si je suis un inconditionnel de ses fesses, elle est visiblement fière de sa poitrine, bien ronde, haut perchée, tonique, et, malgré l’absence évidente de soutien-gorge, aussi ferme que deux gros demi-melons. Les aréoles, je les devine impatientes de sortir pour darder leurs mamelons bien droits vers les derniers rayons du soleil couchant. La sensualité de ce corps de déesse va faire des ravages lorsqu’elle ira, dès demain matin, livrer son corps nu au soleil devant la horde de naturistes de tous poils et de toutes les nationalités qui fréquentent cette station balnéaire.
Je devine que mon inspection visuelle poussée, après lui avoir plu dans un premier temps, l’agace ensuite. À regret, je cesse de l’ausculter et m’avance vers elle avec un grand sourire.
Au milieu du lobby, nous nous rapprochons l’un de l’autre. Je sens son parfum délicat, J’adore de Dior, j’en suis sûr.
— Madame Elodie S., je présume ? lui dis-je. Mes hommages, ma très chère amie. Vous n’imaginez pas le bonheur que j’éprouve à vous rencontrer enfin, en vrai. La réalité dépasse mes fictions les plus débridées. Vous êtes encore plus belle que ne me laissaient prévoir les photos que vous m’aviez communiquées à nos tout débuts. Sophie Marceau, à vos côtés, ...