Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... complimenté pour son équipement. Je me sens très ouverte, et il vient enfin positionner son gland à l’entrée de ma chatte. Étrange impression que d’avoir un homme et de l’eau simultanément en soi. Par petites pressions sur son coup, je lui fais part qu’il peut s’enfoncer un peu plus, il est très attentif à mes réactions. J’ai trouvé une télécommande coquine ! Les muqueuses intimes encore sensibilisées, je le sens avec une délicieuse acuité m’investir peu à peu. Je me sens comblée, au sens propre du terme. Je ferme les yeux. Je me sens tellement bien. Lorsque je les réouvre, je réalise que nous nous donnons en spectacle. JA bien sûr est là, m’encourageant presque, mais aussi Marie Élisabeth, Julie, leurs hommes, et encore d’autres personnes. J’ai un mouvement de recul que ne comprend pas Boubacar, car il applique à la lettre mes consignes de douceur. Puis je me dis que si j’ai suivi JA dans un club échangiste, je ne peux pas jouer la mijaurée et me plaindre d’exciter les voyeurs.
Nous sommes maintenant soudés, pubis contre pubis, immobiles, ne formant plus qu’un seul être. Je sens, presque dans mon utérus, les battements de son cœur animer son mandrin. Nous restons un long moment à communier charnellement, puis je le sens se retirer légèrement. Il amorce des va-et-vient en moi, soft au départ, puis de plus en plus saccadés. Heureusement, je m’agrippe à son cou, il me retient par la croupe, car je me sens projetée vers l’arrière de plus en plus intensément. Je me mords les ...
... lèvres, je crie, il n’en a cure, il joue son rôle de mâle. Je viens, je l’inonde, il s’arrête à peine pour me laisser reprendre mon souffle. Et puis l’inexorable piston se remet en marche, me pilonne. À nouveau, je sens monter dans mes reins l’orgasme, je griffe son cou, mors son menton. Je le sens se cabrer, et son foutre jaillir malgré le caoutchouc. Il jouit, je jouis, jamais je n’avais eu deux orgasmes aussi rapprochés.
Lorsque je reviens à moi, JA, le visage inquiet, est penché sur moi. Je suis allongée au bord de la piscine, Boubacar a disparu, comme la foule des mateurs. D’un pâle sourire, je rassure le senior. Il me glisse, préoccupé :
— Elodie, je crois qu’il vaut mieux en arrêter là ! Rentrons à l’hôtel !
Mécaniquement, le regard vide, je me rhabille. Je n’ai même pas envie de me congédier de nos nouveaux amis, JA le fait pour moi. Je me sens à la fois honteuse de m’être donnée ainsi, et heureuse de ce bien être suprême qui suit l’explosion des sens.
Le même taxi qu’à l’aller nous charge. Il me toise d’un regard goguenard et lance :
— Il me semble que finalement, vous vous êtes bien amusés, non ?
Je laisse JA lui tenir le crachoir pendant tout le trajet, je plane dans un brouillard ouateux et n’ai aucune envie d’intervenir dans leur discussion. Une fois dans ma chambre, je prends une longue douche purificatrice, sans me soucier d’épargner mes cheveux, puis me précipite dans les bras de Morphée.
Le matin suivant, au réveil, l’image que me renvoie ...