Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... d’ailleurs le violoniste qui se lâche en premier. Son suc est musqué, lourd, très âcre, dur à avaler. Lorsqu’il se retire, me dégageant la vue, je découvre Julie, agenouillée devant JA, lui rendant la pareille. J’ai juste le temps de lui souhaiter mentalement la pareille, car je sens un tsunami monter dans mes reins. Marie Élisabeth accélère ses tractions, Charles Henri ses ruades, le feu m’inonde le ventre, je bascule en avant.
Ce n’est qu’en regardant le petit réservoir rempli qui pend lamentablement au bout de son chibre devenu moins triomphant que je réalise que lui aussi a joui. Un rapide coup d’œil sur Julie me prouve que ses entreprises buccales n’ont très probablement pas eu beaucoup plus de succès que les miennes la veille au soir. Le savoir-faire ne peut effacer les méfaits de la médecine (ou de la maladie, c’est selon). Quittant avec difficulté mon perchoir, je file me rincer la bouche. Je retrouve mes compagnons de débauche toujours nus dans le jacuzzi. Je ne peux m’empêcher de regarder les cicatrices qui strient le bas-ventre de JA, restes des soins hospitaliers qu’il a subis, avant que le flot bouillonnant ne les cache. Je vais l’y rejoindre, me frottant comme une chatte ronronnant contre lui. Je veux lui faire sentir que je le remercie de me faire découvrir de nouvelles sensations. L’onde est purifiante, et je m’amuse de l’air satisfait qu’affiche mon compagnon entouré de trois naïades batifolant autour de lui alors que les deux autres mâles jouent les ...
... mateurs assis sur la margelle, les jambes pendantes dans l’eau.
Malheureusement, ce jacuzzi n’est pas très grand, et nous nous retrouvons très vite entourés d’une faune disparate aux rires gras et aux mains aussi exploratrices que désagréables. Aux gloussements ridicules qu’elle émet, je constate que Julie adore cela. Moi pas, cela me rappelle trop les peloteurs du métro que j’endure toute l’année aux heures de pointe. Je sors donc du bassin et décide d’aller visiter la piscine proche. Elle est beaucoup plus grande et calme. Je constate que JA m’a suivie. J’ai la chance d’avoir un bon Samaritain qui veille sur moi. Je fais quelques longueurs puis m’allonge sur le ventre dans l’eau face à la buse d’arrivée d’eau qui me masse délicieusement le bas-ventre. Comme si, quelque part, j’avais besoin de me purifier de m’être donnée à un presque inconnu. Je ferme les yeux sous cette douce caresse.
C’est alors que je sens sur ma poitrine un étrange contact, à la fois délicat et ferme. Baissant les yeux, je découvre deux mains d’ébène qui l’enserre. Je me retourne et me trouve face à face avec le géant black que j’avais vu dans le premier salon besogner une petite Asiatique. Un sourire lumineux découvre la blancheur de ses dents, et il me dit, avec cet inimitable accent des gens d’Afrique centrale, qui roule sur les « r » :
— Mademoiselle, vous êtes la plus bandante des femmes qui sont là ce soir !
Étrange présentation qui m’arrache un sourire ! Il poursuit :
— Moi, c’est ...