Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... gigantesque, à la musculature de culturiste, y pilonne une petite Asiatique toute menue, courbée en avant, les paumes à terre. Je me demande si son pauvre utérus peut résister à l’énorme truc qui la pistonne. Presque tous les salons sont occupés. Certains accueillent aussi des voyeurs qui veulent observer de plus près la tectonique des corps. Nous débouchons enfin sur une grande salle de douches, un vaste jacuzzi et une piscine attenante.
Je me sens tourneboulée par ces tableaux successifs que j’ai vu défiler. J’ai les pointes des seins hérissées, et sens dans mon ventre un fourmillement dont je devine la cause. Je crois que Charles Henri s’en rend compte, car il me prend par la main et retourne dans le long couloir jusqu’à un salon libre. Je jette un coup d’œil derrière moi, JA et les autres suivent. La salle est tapissée de velours noir, avec un spot rouge au plafond assez intense qui éclaire une espèce de table, noire aussi, qui ressemble un peu à un autel. Mon mentor m’y fait m’installer à quatre pattes, le visage vers la vitre extérieure. Il se place derrière moi de manière peu équivoque, je sens son membre sur mon périnée. Oui, tout ça m’a donné envie d’avoir un homme en moi. Mais je veux être protégée pour me donner à un mâle que je ne connaissais pas il y a quelques heures. Comme s’il avait deviné ma pensée, JA surgit devant moi et me tend un préservatif. Où l’a-t-il trouvé ? À l’aveugle, d’une seule main glissée entre mes cuisses, je guide Charles Henri dans mon ...
... antre. Heureusement, son sexe est fin ; mais aussi long et racé. Une queue d’aristo, me dis-je. Il se glisse aisément en moi, je suis très accueillante. Et soudain, je sens sur mon ventre un contact assez doux. Je lève la tête : Marie Élisabeth est juste à côté de moi, une de ses mains me pétrit un sein pendant que l’autre forme un anneau autour du braquemart de son compagnon en me titillant le clitoris d’un doigt. L’impression est forte et délicieuse. C’est alors que je sens une odeur musquée près de mes narines. Levant la tête, je fais face au gros zizi d’Edgar. Il veut ma bouche, je l’ouvre, il s’y insinue, et m’envahit le palais. Il est trapu et large, je dois écarter les mâchoires. Trois personnes, deux hommes et une femme s’occupent de moi, cela ne m’était jamais arrivé !
N’en déplaise à ces messieurs, celle qui concentre le plus ma libido est Marie Élisabeth, qui tire sur mon petit bouton lorsque son compagnon sort à demi de moi, et le repousse à l’intérieur lorsqu’il s’y replonge ; elle l’étire délicieusement. Pourtant, jusque-là, les amours saphiques ne m’avaient qu’à moitié rassasiée. Mais elle a l’art de démultiplier l’effet du bâton qui coulisse dans ma chatte, et si je n’avais pas la bouche pleine, je lui dirais des mots bleus… Comme la plupart des hommes, Edgar, dans sa volonté de pénétrer au plus profond de ma gorge, quitte à m’en donner la nausée, ne me laisse pas l’opportunité de jouer de la langue tout le long de son vit tel un archet sur son violon. C’est ...