Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... paradisiaque de son suc que je saurai laper avec une langue gourmande explorant les grottes de sa féminité : si je ne suis plus en mesure d’agiter mon sabre dans l’intimité d’une femme, je n’ai rien oublié de la technique du cunnilingus et je compte bien lui en faire l’hommage durant ce séjour. Reste aussi à satisfaire pleinement mon sens du toucher. Du temps de ma splendeur virile, les femmes succombaient principalement aux caresses charmeuses de mes mains. Elles étaient fortes, aussi musclées qu’osseuses, fraîches quand il faisait chaud, chaudes en hiver. Je savais caresser toutes les zones d’excitation qui faisaient frémir ces dames. Nul doute qu’Elodie saura faire renaître cette magie pour son meilleur profit…
Plongée dans un sommeil profond, il est peu probable qu’Elodie entende ma voix lui murmurer près du creux de son oreille droite que mes lèvres effleurent comme un vol de léger papillon :
— Dormez bien, belle Elodie. Faites de beaux rêves. À demain !
Les rayons du soleil dardent dans ma chambre lorsque je m’éveille. Je m’assieds en m’appuyant sur les oreillers et reste un moment immobile, songeuse. Que m’est-il arrivé hier soir après cet excellent dîner aux chandelles ? Je me souviens m’être pendue au bras droit de JA en sortant de la voiture. Je n’étais pas ivre, juste un peu gaie, mais une terrible fatigue m’avait soudain envahie au point que j’avais peine à marcher droit. Je n’ai plus de souvenir au-delà de mon arrivée sur la terrasse. De vagues bribes ...
... d’un rêve coquin hantent mon esprit : un de mes jeunes surfeurs s’acharnait avec la maladresse de son âge sur l’agrafe de mon soutien-gorge. Et voilà que ce matin, à mon réveil, je me trouve totalement nue dans mon lit. Je ne vois même pas mes vêtements rangés dans un coin. Seuls mes escarpins sont bien alignés l’un à côté de l’autre à l’entrée de la salle de bain. Je me palpe sur tout le corps, autant pour retrouver mon sens de la réalité que pour vérifier l’intégrité des parties les plus féminines de mon corps. Je ne ressens aucune douleur, ne constate aucun hématome sur ma peau, notamment sur mes seins si sensibles au toucher. Ma main droite glisse sur mon ticket de métro et s’approche de ma vulve qui m’apparaît bien fermée et sans séquelles d’une activité coupable. Quelqu’un m’aurait donc conduite, en toute inconscience, hier soir dans mon lit, m’a déshabillée, et m’a probablement regardée sur toutes les coutures ! Mais aussi apparemment, « il » m’a respectée au plus profond de mon intimité. Je sens au fond de mon ventre comme un vide, comme si j’aurais aimé être remplie par ce mystérieux voyeur.
C’est évident, le seul qui ait pu réaliser tous ces gestes avec tant de délicatesse ne peut être que mon galant bienfaiteur d’hier soir, JA. C’est un médecin, habité à la nudité. Un flot de tendresse m’inonde de la tête aux pieds avec un drôle de spasme au niveau de mon ventre. Cette sollicitude m’agace aussi, car j’avais décidé de ne me dévoiler à lui que très progressivement. ...