1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... son visage plaqué sur l’oreiller. Elle a visiblement du mal à résister à l’alcool ! Dois-je la laisser, là, comme cela, dormir habillée ? Au contraire, dois-je jouer à la femme de chambre et la dépouiller de ses vêtements, pour être plus à l’aise ? Je risque alors de passer demain matin pour un vieux vicieux profiteur des effets des vins gouleyants que je lui ai abondamment servis.
    
    Je prends le temps de la réflexion en commençant par lui ôter ses sandales. Elle a des pieds adorables aux ongles vernis et j’y dépose doucement mes lèvres pour tester ses réactions. Machinalement, elle replie un peu plus ses jambes pour les ramener au milieu du lit. Elle découvre ainsi ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Je passe doucement le dos de ma main droite sur ses mollets. Un vague sourire égaye la commissure de ses lèvres. Dois-je aller plus loin ? Je me hasarde à déboutonner son blazer en prenant bien soin d’à peine l’effleurer. Maintenant, elle est plongée dans un état de sommeil tellement profond qu’elle émet un très léger bruit de ronflement. J’ose alors faire sauter le zip latéral de sa jupe pour entièrement libérer ses cuisses. Je découvre alors la face antérieure de son corps avec sa peau intégralement bronzée. Elle porte en haut un soutien-gorge sans armature noir, sexy, avec des parements de dentelles et, en bas, un shorty assorti. Je ne rencontre aucune difficulté à la débarrasser de cette minuscule culotte pièce de tissu, aidé par le léger mouvement du bassin qu’elle ...
    ... esquisse. J’ai l’impression qu’inconsciemment, elle aide donc approuve mon effeuillage. Pour la première fois, je vois ses poils pubiens, clairs, parfaitement taillés en ticket de métro. La clarté lunaire est suffisante pour que je devine la partie antérieure de son périnée avec son promontoire osseux bombant, mais les grandes lèvres sont soudées l’une à l’autre, masquant son intimité. La débarrasser de son soutien-gorge est une autre affaire, car il me faut accéder à son agrafe dans son dos qui m’est inaccessible. Se produit alors un miracle : Elodie se retourne sur le flanc gauche, me révélant ainsi, en bas, des fesses magnifiques dont je rêve depuis toujours : deux hémisphères bien musclés parfaitement symétriques, dont la couleur diaphane contraste avec le léger hâle de son dos.
    
    Comme si elle devinait le sens de mes profondes rêveries du moment, elle se retourne un peu plus et se retrouve, sous mes yeux ahuris, couchée sur le ventre. Elle me révèle alors une grande partie de son postérieur fendu par une gorge profonde, me laissant deviner sans me le montrer l’esquisse de son large macaron central. Mes regards sont-ils à ce point pénétrants ? Elle pousse un profond soupir et murmure entre ses dents ce qui me paraît être un « ouiiii ! » extatique, témoin d’une sulfureuse pensée onirique. Mes doigts se font indiscrètement agiles pour manipuler le fermoir. Anticipant la probable libération de sa poitrine de son carcan pourtant léger, Elodie, toujours endormie, s’est à nouveau ...
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