Olivier s'abandonne (3) - Histoires de Sexe

Olivier s'abandonne (3)

... bien... Ça coule sur mon siège, mon orifice coule comme la chatte d’une nymphe en rut... « J’entends » la mollesse, le clapotis de mon cul qui me rend dingue de tant aimer se faire enfoncer, labourer, creuser... Et je jouis encore, du cul, de mon cul adoré qu’il semble affectionner furieusement.

— Arrêtez-vous tous les deux, vous me rendez folle !...

J’entends, mais je suis complètement dans les vapes après un tel traitement ; je rêve ou cette voix chaude et sensuelle vient de derrière moi ?

On se retourne tous les deux, surpris d’avoir été découvert bien que franchement ça m’étonne qu’ils ne nous aient pas encore jeté du car !... ... Et découvrons le visage réjoui, encadré d’une chevelure grise/argent, d’une femme irradié par la satisfaction insolente d’observer depuis le début notre débauche...

— Ne vous inquiétez pas, je ne veux pas vous incommoder, mais votre spectacle et l’énergie fantastique que vous disperser en vous aimant ainsi me troublent merveilleusement.

Marc et moi souriant d’avoir généré et partagé autant « d’amour » autour de nous.

— Bonsoir, je m’appelle Geneviève, quelle chance j’ai de voyager en votre compagnie, vous êtes si beaux et votre « vice, si je peux me permettre, est contagieux... »

Nous nous saluons et échangeons quelques courtoisies qui instantanément mettent tout le monde à l’aise.

Cette femme est radieuse. Elle a plus de soixante ans, mais dégage une beauté qui me transmet confiance et complicité inattendue...

— Tu ...

... me rappelles moi quand j’étais jeune mon mignon. Je suis passionné et obsédé par mon cul. Lesbienne exclusive, j’ai toute ma vie, j’espère qu’il m’en reste encore longtemps à explorer, chercher et développer à jouir et jouir encore avec mon fondement. Et je dois dire que j’ai beaucoup de reconnaissance pour cette partie de mon anatomie qui me donne tant de plaisir. La sensibilité et la boulimie de mon intestin me ravissent !

J’en ai les larmes aux yeux... je voudrais qu’elle soit ma mère... Sa confession de foi en elle même me remplit le cœur d’espoir... Moi qui ai tellement souffert par le passé de ma « différence »...

Marc lui avoue que l’on vient de se rencontrer et que c’est incroyable la connexion qu’il sent entre nous. Qu’il lui semble me connaître depuis toujours, qu’il m’attendait... Ces mots font couler mon cul... je sens mon intestin qu’il palpite... Je lui dis et Genevieve ajoute de plus belle des doux mots réconfortants... décidément c’est mon jour, je les sens tous les deux me bercer dans leur cœur... Papa Maman tant désiré, tant fantasmé... Je me blottis contre Marc qu’il m’enlace et prend mes fesses dans sa main, insinuant une pression sur mon anus qui achève de me convaincre... C’est lui l’homme de mes rêves...

Genevieve nous demande si elle peut me papouiller un tout petit peu. Je ne dis rien, regarde Marc qui lui sourit et ajoute : « Je crois qu’il en a bien besoin notre tout petit de se faire dorloter légitimement.

Elle passe son bras entre nos ...