Olivier s'abandonne (3) - Histoires de Sexe

Olivier s'abandonne (3)

— Votre amoureux ?... Oh Marc s’il vous plaît, faites de moi votre amoureux ! Je me sens si bien avec vous !...

— Attends ce soir que je puisse te baiser quand il fera nuit, que nous soyons un peu plus tranquilles pendant que les autres voyageurs dormiront, avant de vouloir t’engager avec moi... Parce que cela signifiera beaucoup pour moi et pour toi...

De nouveau passe dans mes yeux ce trouble qu’il lit aussitôt ... Saisit mon visage avec ses grandes mains puissantes et pénètre ma bouche avec sa langue si bonne, qui me fouille si bien... Je veux la sentir jusque dans ma gorge, plus loin... Je déglutis sa salive qui m’enivre et allume mon corps qui ne fait décidément quasi aucune pause depuis qu’il s’est assis à côté de moi.

— Et crois-moi que j’en ai envie...

Dit-il en plaquant ma petite main sur son énorme bosse...

— Je vais te fouiller le cul jusque ton estomac mon cher Olivier, avec ça... me faisant prendre conscience de l’affolante taille de son sexe en glissant ma main tout du long de la masse vibrant depuis son entrejambe !

Quel morceau, jamais je n’ai pensé un jour rencontrer un homme si bien monté...

— Je la veux ! Je veux te sentir tout entier ! Je me suis travaillé, défoncé, dilaté le cul depuis toujours pour toi. Pour que mon cul te reçoive, t’absorbe sans aucune difficulté... Fais de moi ton trou... Fais de mon cul ton bonheur Marc...

Je viens de passer au tutoiement sans vergogne... Je le veux mon Marc !

Il passe sa main derrière ma ...

... tête, saisit mes cheveux, tire en arrière afin de placer mon visage en position d’abandon et pour mon plus grand ravissement, force ma gueule d’ange de sa langue savante, me plonge toute sa puissance à l’intérieur...

Un raz de marée me dévaste, m’emmène, transperce mon cœur, qui n’en croit pas ses palpitations incontrôlées, d’une jouissance extraordinaire. Je pleure. J’ai déjà peur de perdre ce pur instant de bonheur scandaleusement voluptueux...

Il passe sa main en bas...

Cherche entre mes cuissettes mon frêle popotin...

Je sursaute et gémis d’une savoureuse douleur lorsque qu’il bouscule mes roupettes sensibles de l’aplatissement prodigué il y a, à peine dix minutes...

Ses doigts détectent le frisson de mon anus, qui s’agite d’une grimace obscène, sollicitant la même agression que mes génitales. Sa langue poussant dans ma gorge, il m’éventre avec quatre doigts d’un coup constatant pour la seconde fois en à peine une heure de l’élasticité diabolique de mon cul dénaturé...

Il tourne sa main, profitant de la lubrification exceptionnelle de mon rectum qui mouille et mouille pour recevoir plus, davantage de poussées... mes sphincters implorent une raclée, une dérouillée...

— Je te posséderais jusqu’au coude Olivier ! Défoncer ton cul comme personne ne t’a jamais bourré... mais pas aujourd’hui...

Et il tourne et tourne sa main... Ouvrant mon trou qui baille de démission, comme s’il ne voulait plus jamais se refermer... Avaler son poing qui le travaille si ...