Fric-frac - Histoires de Sexe

Fric-frac

... saisi les poignets pour les ramener derrière son dos et les entraver dans une paire de menottes.

— Espèce de salaud ! Ce n’est pas ce qui était prévu !
— Je m’en doute bien, ma belle ! Ce que vous aviez prévu, c’était de cambrioler ma maison bien à votre aise, n’est-ce pas ? Eh bien, désolé de vous décevoir, ma petite dame. Ma femme et moi tenons énormément à tout ce qui se trouve dans cette maison.

Lucie se débat, continue à le traiter de salaud, de tricheur, mais Louis se contente de rire avant de la jeter sans ménagement sur le lit. Derrière son loup noir, ses yeux brillants lancent des éclairs incendiaires.

— Alors dites-moi, que devrais-je faire de vous à présent ?
— Me détacher pour que je puisse te donner la leçon que tu mérites.
— Je suis sûr que vous en seriez capable, mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée. Non, je vais plutôt commencer par vous donner une fessée pour vous apprendre les bonnes manières et vous faire comprendre que c’est très mal de voler son prochain. Ensuite, j’appellerai la police pour qu’elle s’occupe de vous comme il se doit.

En l’entendant évoquer la fessée, un délicieux frisson vient électriser les chairs de Lucie, déclenchant un spasme nerveux au creux de sa chatte. Il sait combien elle aime qu’il s’occupe de ses fesses et de son joli cul, et si ce n’est pas vraiment le scénario qu’elle avait imaginé pour leur soirée, elle commence à prendre goût à ce nouveau développement. Malgré tout, pour préserver les apparences ...

... et rester dans son rôle, elle continue à résister et à insulter l’ignoble personnage qui s’apprête à lui martyriser le derrière.

Louis s’est assis sur le bord du lit, attirant sa délicieuse cambrioleuse vers lui pour l’allonger en travers de ses cuisses, l’immobilisant tandis qu’elle continue à s’agiter en maudissant son tortionnaire. Il baisse le collant et glisse sa main entre les cuisses chaudes et humides pour défaire la pression qui ferme le body. Elle ne porte pas de culotte et ses fesses rondes et pâles apparaissent dans leur éblouissante nudité pour le plus grand plaisir de Louis.

— Voyez-vous cela ! On vient cambrioler d’honnêtes citoyens et on ne porte même pas de culotte ! Et en plus, votre petite chatte est toute trempée. Ça vous excite, le cambriolage… Pas vrai ? Et je suis sûr que la perspective du traitement que je m’apprête à administrer à ce beau cul de voleuse vous excite tout autant.

Dans un claquement sec, la main de Louis s’écrase lourdement sur ses chairs tremblantes.

— Salaud ! Je te hais !

Elle n’en croit rien, bien sûr, mais elle continue à jouer son rôle avant que les décharges électriques qui lui traversent les chairs et les vagues de plaisir qu’elles provoquent ne prennent le dessus, l’obligeant à s’abandonner avec délice aux assauts de son tourmenteur. Il la fesse avec application, avec autant de fermeté que de retenue, comme elle l’aime, s’appliquant à faire rougir les deux globes charnus et à faire pleurer de plaisir sa petite ...