1. Fric-frac


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fhh, couple, uniforme, Oral pénétratio, double, fsodo, jeu, attache, baillon, fouetfesse, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... tissu élastique du body avant de le trancher juste à la hauteur du téton et laisser apparaître la pâleur du sein au milieu du tissu noir et le long cylindre de chair dressé au centre du mamelon. Un deuxième coup de ciseaux, et deux superbes nichons se dressent à présent sous ses yeux ravis.
    
    — Magnifique. Extraordinaire. Vous devriez voir ça. Mais avant, il reste un dernier détail à régler.
    
    Lucie n’a pas le temps de réagir que déjà Louis a recouvert sa bouche d’une large bande de ruban adhésif. Elle essaie de crier mais il est trop tard, et ce n’est qu’un murmure étouffé qui sort de sa bouche. Elle s’agite, secoue la tête, tire nerveusement sur ses liens. Mais c’est inutile, elle est prisonnière. Cette fois, ses yeux ne brillent plus d’excitation, mais de colère. Elle ne s’attendait pas à être bâillonnée. Elle est surprise, et pas du tout convaincue d’aimer cela.
    
    Louis pousse le fauteuil à roulettes pour l’amener devant le grand miroir du hall d’entrée. Lucie a du mal à se reconnaître dans cette femme entravée, bâillonnée, effrontément nue qui la regarde fixement et qu’elle trouve terriblement excitante. Louis l’approche encore davantage pour qu’elle puisse découvrir les perles de jouissance qui glissent sur les chairs nacrées de son sexe béant.
    
    Il y glisse les doigts et Lucie gémit de plaisir. Elle voudrait lui dire de ne pas s’arrêter, mais elle est condamnée à jouir en silence et, étrangement, cette situation l’excite encore davantage. Elle se regarde tandis que ...
    ... Louis lui fouille la chatte, écartant les dentelles roses et recueillant dans sa bouche les liqueurs salées de sa jouissance.
    
    Le carillon de la porte d’entrée la fait brusquement sursauter. Il y a quelqu’un derrière la porte, à quelques mètres à peine. S’il regarde par le judas, il pourra probablement découvrir le spectacle en miniature de son corps offert aux caresses de Louis. Lucie regarde fixement son mari, une voile d’angoisse au fond des yeux.
    
    — Ah, ce doit être la police.
    — Mmmmmm… mmmmmm !
    
    Lucie s’agite sur son fauteuil, et le sourire innocent de Louis ne contribue pas à la rassurer.
    
    — Qu’est-ce qu’il se passe ? Nous avions convenu d’appeler la police, non ?
    — Mmmm… mmmm !
    — Mais peut-être craignez-vous que ce ne soit pas la police, mais plutôt un enfant qui pourrait être choqué par le spectacle de vos chairs dénudées ? Vous avez raison, il vaut mieux vérifier.
    
    Il pousse le fauteuil dans la buanderie attenante à la cuisine avant de refermer la porte derrière lui et laisser Lucie dans l’obscurité. Son cœur bat à cent à l’heure, son cerveau est en ébullition et des frissons glacés traversent ses chairs brûlantes. Elle entend des voix qui remontent depuis le hall. Louis parle à un homme, puis plus rien. Rien que le silence insupportablement long durant lequel elle n’ose imaginer ce qui va lui arriver.
    
    Lorsque la porte de la buanderie s’ouvre enfin et qu’on allume la lumière, elle est obligée d’écarquiller les yeux pour deviner la silhouette de Louis ...
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