L'amant, la femme adultère et le mari trompé...
Datte: 31/05/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
amour,
jalousie,
caresses,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
cocu,
Auteur: Gaétan, Source: Revebebe
... mouvement ondoyant, celui d’une paysanne plutôt que d’une ballerine, quand elle monte, avec moi, les escaliers qui nous mènent à la chambre du vieil hôtel, où nous nous retrouvons tous les jeudis après-midi. Nous nous asseyons sur le lit, comme des adolescents amoureux, je la regarde, elle me sourit, de son sourire si doux, si maternel. Tel un enfant, je pose ma tête sur son épaule, pour qu’elle me serre contre elle, qu’elle m’embrasse. Ses lèvres avalent les miennes, mais, en femme méditerranéenne, elle me laisse l’initiative, et sa langue accueille la mienne comme une paysanne accueille son homme, le soir…
Nous nous déshabillons mutuellement, et son corps nu m’entoure, m’assiège, chaque cellule de sa peau se colle à chaque cellule de la mienne, pour s’y fondre, plus que pour l’étreindre. Ses gros seins s’écrasent contre ma poitrine, appellent avidement mes caresses, mais mes mains, éblouies par tant de volume, et de fermeté, sont trop timorées pour les effleurer, ou même les palper, et préfèrent souvent céder la priorité à ma bouche qui s’enfonce entre eux pour lécher leur intimité, avant d’émerger pour se poser sur ses tétins épais, qui trônent au centre de larges aréoles cernées d’une couronne de poils, et les sucer, les téter comme auraient pu le faire les enfants qu’elle n’a pas eus. Enfin, ses seins repus de caresses, elle refuse que mes mains se posent sur son pubis velu et m’enjoint :
— Viens, mets ton petit truc dans mon petit trou, enfonce-le-moi bien tout ...
... au fond…
Et non, elle ne me dit pas « enfonce ta grosse queue dans ma chatte et défonce-moi », comme si une quelconque réserve l’empêchait de prononcer des mots crus. Comme elle m’a déjà avoué que Paco, son mari, a un sexe plus gros que le mien, mais qu’il en use d’une façon fruste et hâtive, son « …ton petit truc… » ne me blesse pas et, au contraire, j’en profite pour me glisser dans la peau d’un enfant ambigu, voire incestueux, rôle pas trop déplaisant en fin de compte… Ensuite, allongé, vautré, gisant, sur elle, j’enfonce mon visage dans son cou, et mes mains saisissent les bourrelets de ses hanches pour mieux m’arrimer à elle.
Son sexe accueille le mien comme une pieuvre s’empare de sa proie, l’aspire, se moule autour de lui, le suce, l’aspire, lui procurant mille délicates sensations… Je bouge à peine, savourant ce moment de grâce. Ses mains me caressent la nuque, le cou, et elle me murmure des mots doux, pauvrement romantiques, lus dans un roman à l’eau de rose, mais qui me ravissent et m’émeuvent. Puis ses mains descendent sur mes fesses, les saisissent pour les inciter à prendre un rythme plus soutenu, et donner à mes pénétrations une ampleur plus grande, plus violente. Enfin, sa respiration devient plus courte, puis s’interrompt brusquement et elle se cabre, pour un orgasme muet, craintif, et elle me dit :
— Viens, mon petit chéri, c’est ton tour, gicle…
J’accepte son invitation et je jouis à mon tour, sous ses encouragements :
— Oui, c’est bien, mon ...