1. L'amant, la femme adultère et le mari trompé...


    Datte: 31/05/2023, Catégories: fh, extracon, hotel, amour, jalousie, caresses, Oral pénétratio, confession, extraconj, cocu, Auteur: Gaétan, Source: Revebebe

    L’amant, c’est moi, Gaétan… mais je ne suis pas l’un de ces hommes qui passent d’une maîtresse à une autre, avide de consommer toute femelle qui passe à sa portée, bien au contraire… Je suis marié, depuis une dizaine d’années, avec Lydie, une femme que toutes les femmes qui la rencontrent jalousent et que tous les mâles qui l’entrevoient m’envient et, en panne d’imagination, me soupçonnent de la retenir grâce à une très grosse « qualité », et m’admirent, et m’envient d’autant plus. Je suis cadre dans une agence bancaire, et j’ai rencontré Lydie en gérant ses intérêts, quand ses parents sont décédés lors d’un accident. Par reconnaissance (et peut-être aussi par intérêt), elle est devenue ma femme.
    
    Lydie est grande, mince, le port altier hérité de la pratique juvénile de la danse classique, assidûment pratiquée jusqu’à l’adolescence. Sa poitrine et ses fesses, moulées par la danse, se sont un peu développées, mais ont su rester fermes grâce au sport.
    
    Lydie est une reine… Oui, Lydie est belle, très belle même…
    
    Oui, mais si elle est belle, Lydie n’est pas « bonne », si je peux me permettre une expression aussi vulgaire.
    
    Je ne m’étais pas méfié… Lydie m’avait bien demandé de patienter quelques mois avant de confier son corps à mes mains avides et d’abandonner son sexe à mon sexe affamé, mais j’avais mis ça sur le compte du respect des convenances sociales, peu de temps après le deuil de ses parents.
    
    Plus tard, mon impatience soulagée, Lydie se montra bonne ...
    ... épouse, et elle satisfaisait, sans réticences, mais sans enthousiasme démesuré non plus, aux devoirs conjugaux que je lui proposais, sous de multiples formes, diverses et variées. Bonne épouse, elle a même accepté, pour me complaire, de m’accompagner dans une soirée échangiste, « pour voir », ravie et amusée par la convoitise que sa beauté éveillait chez les mâles présents, mais, usant de son regard d’acier, elle avait congelé le désir de la meute de ses « soupirants » et, par là même, ruiné mes velléités échangistes. Question techniques amoureuses, en « épouse professionnelle », elle les pratique toutes, avec dévouement et application, sachant, selon les circonstances, se mettre sur le dos ou à quatre pattes, voire à genoux la bouche ouverte, gémissant quand il le faut, remuant quand il le faut, feignant l’orgasme en criant quand elle sent que j’ai quelque peine à jouir. Oui, vraiment, une belle épouse !
    
    L’épouse de l’autre (le mari), ma maîtresse donc, c’est Germaine, que j’ai rencontrée, elle-aussi, grâce à mon métier. Ah… Germaine ! Beaucoup moins de classe que Lydie, mais beaucoup plus de féminité et de vitalité. Son regard sombre d’Andalouse ne me fascine pas, mais me calme, me rassure. Elle n’est pas très grande, a la taille lestée de quelques kilos, peut-être pas à la mode, mais qui, entre deux draps, savent se transformer en de magnifiques et confortables prises pour mes mains. Sa poupe est charnue, un peu molle, mais attire mes mains promeneuses, aimantées par leur ...
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