1. Un désir impossible à assouvir (2)


    Datte: 30/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: LaLouveBleutée, Source: Xstory

    ... trompait.
    
    Je fis volontairement tomber une goutte, qui coula entre mes seins.
    
    — Oh Alice, regarde je me suis déjà tachée.
    
    — Effectivement, il faut nettoyer ça, répondit-elle sensuellement.
    
    A ma grande satisfaction, elle entra dans mon jeu. Le plus naturellement possible, elle fit glisser son doigt sur la traînée de glace et le porta à sa bouche. J’adressais mon plus beau sourire au jardinier. Alice avait le droit de toucher, contrairement à lui. Son pantalon laissait apparaître une belle bosse et il ne semblait plus maîtriser grand-chose. Alice le remarqua et accentua le coup.
    
    — Il te reste encore de la glace, attends.
    
    Elle se pencha franchement et passa sa langue sur ma poitrine. Je frissonnai à ce contact et penchai la tête en arrière. Audacieuse, elle se redressa et souleva mon débardeur. Puis, elle s’amusa à glisser ses lèvres autour des bonnets de mon soutien-gorge. Instinctivement, j’agrippai ses longs cheveux. C’était tellement agréable, j’avais envie qu’elle s’aventure sous la dentelle, qu’elle me mordille les tétons.
    
    Mes mains frôlèrent son dos et allèrent se poser sur ses fesses rebondies. Je l’attirai un peu plus vers moi afin de les saisir franchement. Elle lâcha un cri de surprise qui se transforma en petit gémissement. Sans crier gare, elle ôta un des bonnets de mon soutien-gorge et lécha ma partie sensible.
    
    Je n’avais plus conscience de l’endroit où j’étais. La douce sensation de sa langue associée à notre exhibitionnisme me procurait ...
    ... un plaisir indescriptible. Un bruit me ramena à la réalité. J’entrouvris les paupières et constatais qu’il s’agissait de notre voyeur.
    
    Il avait lâché son arrosoir, incapable de jouer la comédie plus longtemps. L’hésitation avait disparu de son regard sombre. A cet instant, la perte de son travail lui importait peu. Il fit un pas dans notre direction, un air de défi sur le visage. On allait regretter de l’avoir autant cherché.
    
    — Merci, je vous souhaite une bonne journée.
    
    La voix de mon père avait résonné depuis le salon. Alice redescendit brusquement mon débardeur et s’écarta, tandis que je me dépêchais de reprendre un air naturel. Dépitée, je regardai mon jardinier reprendre l’arrosoir et finir sa besogne, le visage renfrogné. J’étais désappointée par cet arrêt soudain. Que ce serait-il passé si nous n’avions pas été interrompus ?
    
    Mon père s’assit, totalement inconscient de ce qui venait de se produire.
    
    A présent, j’avais autant envie d’Alice que du jardinier. Ce qui était au début un jeu s’était transformé en un désir incontrôlable. Je voulais finir ce qu’on avait commencé, qu’elle aille encore plus loin, qu’on découvre ces nouvelles sensations ensemble. À côté de moi, Alice tentait de paraître détachée, pourtant son souffle rapide et ses yeux brillants me firent comprendre que je n’étais pas la seule à en vouloir plus.
    
    Tant pis pour les risques, je ne pouvais plus attendre. Ce soir, lors de ma « promenade », j’entraînerais Alice avec moi. Cette histoire, on ...