La bourgeoise et le marabout (72)
Datte: 28/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... donne des envies d’y regarder d’un peu plus près.
Mon patron lui répond.
— Ne vous gênez surtout pas ! Hélène adore être saillie par une queue virile.
Il m’est impossible de me retourner, mais je sens bien vite deux mains qui m’agrippent par la taille et m’emprisonnent solidement. Puis la bite de Monsieur de Dion Bontou se glisse entre mes jambes que j’écarte de plus belle. J’adore être ainsi, une queue dans la bouche et une autre qui s’apprête à m’investir. Le gland frotte sur la soie du string cherchant dans le tissu la fente qui permet d’accéder ma chatte. Pressée de sentir cette queue en moi, je glisse ma main entre mes jambes et guide cette grosse bite vers le passage. Excitée et mouillée comme je suis, le gland m’écarte les chairs et plonge au plus profond de ma vulve. Enfin, je suis empalée !
Lorsque je suis prise en main ainsi, mon cerveau se déconnecte et je ne suis plus qu’un corps qui réagit aux assauts de ces deux mâles en rut. Je ne pense à rien, je les laisse profiter de mes orifices, je m’abandonne à leurs envies lubriques, je ne suis qu’un jouet sexuel, je ne suis qu’une salope accro à la bite et au foutre.
Mon patron le sait bien et il fait en sorte de se retenir pour ne pas jouir trop vite. Il veut faire durer le plaisir le plus longtemps possible, ne se répandre au fond de ma gorge que lorsqu’il ne pourra plus faire autrement, lorsqu’il lui sera impossible de lutter contre cette lave lubrique qui remonte dans sa hampe.
Il encourage ...
... Monsieur de Dion Bontou à faire de même.
— Comme vous le voyez, elle aime ça !
— Prenez votre temps, sachez apprécier la douceur et la chaleur de son fourreau.
— Sachez que sa bouche est aussi chaude et accueillante que sa chatte.
— Et je ne vous parle pas de son petit cul dont il m’arrive de profiter de temps en temps.
Tout en m’enserrant la taille un peu plus fort, mais en ralentissant le rythme de ses coups de queue, son interlocuteur lui répond.
— Vous avez là une merveilleuse collaboratrice ! Je vous envie.
— Sa peau est douce et sa chatte est parfaitement adaptée à mon calibre.
— Mais je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps. C’est si bon !
Monsieur Dupont-Forniquet le rassure.
— Ne soyez pas inquiet ! Si nous faisons affaire, Hélène ira régulièrement vous rendre visite dans votre bureau. Vous aurez alors tout loisir de découvrir l’immensité de ses talents.
Monsieur de Dion Bontou n’a pas le temps de lui répondre. Il pousse un long feulement de lion satisfait, soude son bas-ventre contre mes fesses et m’inonde la chatte de longs jets de foutre bien chaud. Mon patron n’en attendait pas plus. Il me plaque le visage contre son pubis, donne un coup de bas-ventre et se répand dans le fond de ma gorge. Les deux hommes restent ainsi quelques instants, bien collés à moi, pour récupérer quelques forces tout en se vidant des dernières gouttes de leur précieuse liqueur.
Enfin, nous reprenons tous les trois nos esprits. Ils réajustent leur ...