1. La bourgeoise et le marabout (72)


    Datte: 28/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... aux pieds. L’archétype du PDG ! Mon patron fait les présentations.
    
    — Hélène, je vous présente Monsieur de Dion Bontou, directeur général de la société DB Insurance Solutions dont nous avons parlé hier après-midi.
    
    — Monsieur de Dion Bontou, voici Hélène de Saint Jouy, l’une de mes plus fidèles collaboratrices en charge du suivi RH de certains de nos plus gros clients. Ses compétences et ses conseils sont unanimement appréciés de tous ses interlocuteurs et nombre d’entre eux ne veulent traiter qu’avec elle. Elle est d’une disponibilité sans faille et ne compte pas les heures qu’elle passe auprès des dirigeants des sociétés clientes. Je serais tenté de dire qu’elle se dévoue corps et âme pour son travail.
    
    Tandis que le client me détaille des yeux à la tête comme un maquignon tentant d’évaluer une belle pouliche lors d’une foire agricole, je réponds.
    
    — Oh Monsieur le Directeur, je ne fais que mon travail ! Mais j’avoue y prendre beaucoup de plaisir même si mon mari me reproche souvent d’être quasiment mariée avec mon employeur.
    
    Mon patron me dit alors.
    
    — Asseyez-vous près de Monsieur et expliquez-lui en détail la manière dont vous conduisez un audit RH et les principales solutions que vous êtes amenée à préconiser à nos clients pour leur permettre d’améliorer leurs ressources humaines et leur compétitivité.
    
    Pendant l’heure qui suit, je détaille à Monsieur de Dion Bontou les process RH mis en œuvre et les principales voies d’amélioration qui sont ...
    ... généralement mises en œuvre chez nos sociétés clientes. L’intéressé m’écoute d’une oreille attentive tout en me matant la poitrine et les jambes. Il faut dire, compte tenu de l’enjeu, que je porte un chemisier quasiment transparent qui laisse voir la dentelle de mon ravissant soutien-gorge Aubade. J’ai mis une jupe noire assez serrée qui m’arrive au-dessus des genoux, mais largement fendue sur le côté. Il est évident que par instant, on voit clairement que je porte des bas.
    
    Soudain, le téléphone sonne sur le bureau de mon patron et il se lève pour décrocher. Au bout de quelques secondes, il dit à son interlocuteur.
    
    — Oui Véronique, vous pouvez fermer le secrétariat et aller chercher votre fils à la sortie de l’école. Nous en avons encore pour un certain temps et je verrouillerai moi-même l’étage en partant.
    
    Puis, une fois revenu avec nous autour de la table, s’adressant à Monsieur de Dion Bontou, il enchaîne.
    
    — Ah ces jeunes femmes ! Elles sont charmantes, mais elles ont régulièrement des soucis avec les enfants.
    
    Son interlocuteur lui répond.
    
    — En ce qui me concerne, c’est la raison pour laquelle je préfère travailler avec des femmes débarrassées des contraintes maternelles. Et en général, elles sont aussi agréables à regarder !
    
    Tout en posant sa main droite sur mon genou, mon patron lui répond.
    
    — Oui, et elles s’avèrent être parfois très coquines et bien plus expérimentées que les petites jeunes.
    
    La main de Monsieur Dupont-Forniquet remonte plus haut par la ...
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