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La bourgeoise et le marabout (72)
Datte: 28/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory
... Monsieur. Il faut effectivement montrer à ce client potentiel toute la rigueur et les compétences de notre société. Au cours de la discussion, sa main est remontée plus haut et est maintenant glissée sous ma jupe. Il poursuit la conversation tout en jouant de ses doigts sur la lisière de mes bas. — Je me suis renseigné sur ce patron et j’ai appris qu’il était veuf et très amateur de belles femmes. Si nous obtenons ce contrat, j’envisage de vous en confier la responsabilité. J’écarte un peu plus les jambes de manière à lui permettre de remonter jusqu’au fin tissu de mon string. J’aime le sentir un peu soumis à moi ! Je lui réponds. — Je vous remercie de votre confiance Monsieur le Directeur. J’imagine donc que je devrai être présente demain à l’entretien pour vous aider à décrocher le marché ? L’un de ses doigts s’est glissé sous le tissu et s’insinue lentement dans mon sexe. Cela ne l’empêche pas d’enchaîner. — Tout à fait Hélène, j’ai impérativement besoin de vous et de vos talents de négociatrice ! Vous vous doutez bien qu’une belle prime récompensera vos talents s’il signe demain. Je soulève un peu mes fesses, relève bien haut ma jupe et m’assois au bord du fauteuil. Je lui dis en le regardant bien droit dans les yeux. — Vous pouvez compter sur moi Monsieur. Vous savez combien je suis dévouée à mon travail, à notre société et à vous-même. Mon patron se met à genoux devant moi, avance son visage vers mon bas-ventre, écarte mon string d’une main et ...
... commence un bon cunnilingus. Je me laisse aller, c’est si bon ! Vingt minutes plus tard, je quitte le bureau de mon patron en lui disant. — A demain Monsieur le Directeur. Je veillerai à être habillée comme il se doit pour un rendez-vous d’affaires aussi important. Le lendemain, la journée se passe normalement et le midi, je déjeune avec quelques collègues féminines de travail. Comme cela nous arrive, nous discutons de choses coquines, mais bien évidemment, jamais de ce qui se passe au bureau. Il doit être près de 17h00 lorsque la secrétaire personnelle du patron m’appelle et me demande de monter à la direction. Une fois que je suis au 6ème et que j’arrive au bureau de la secrétaire particulière, cette dernière me dit. — Bonjour Madame de Saint-Jouy. Le client est depuis un bon quart d’heure avec Monsieur Dupont-Forniquet et cela n’a pas l’air de très bien se passer. Le patron m’a demandé de vous faire entrer dès que vous seriez là pour que vous expliquiez dans le détail les services offerts par la société. Je frappe donc et entre sans tarder dans le bureau du patron. Monsieur Dupont-Forniquet est assis autour de la petite table basse que je connais bien et qui est installée dans un coin près de la grande baise vitrée avec vue sur la Tour Eiffel. Un autre homme est assis en face de lui, style européen, la cinquantaine, grand à l’air sportif, costume trois-pièces certainement taillé sur mesure et bottines de cuir – style anglais à plus de mille euros la paire – ...