1. Je suis devenu Sabrina la putain (2)


    Datte: 27/05/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Demoniak, Source: Xstory

    ... presque le sol.
    
    — Relève le menton, comme si tu voulais regarder le plafond, me dit-il.
    
    Les fesses en l’air et les épaules basses, je dus cambrer mon dos au maximum pour lui obéïr.
    
    Je sentis soudain son gland se positionner à l’entrée de mon sphincter. Un liquide froid et huileux me chatouilla. Du lubrifiant !
    
    — Tu la fermes. Je ne veux entendre aucun cri.
    
    Je sus en un éclair ce qui allait se passer. J’eus à peine le temps de relâcher mes muscles anaux que son dard s’introduisit dans mon trou, avec une telle force qu’au moins les trois quarts avaient dû y pénétrer.
    
    La douleur était immense. Je brûlais de l’intérieur.
    
    Je luttai pour ne pas crier, mais mes lèvres ne purent retenir un râle de souffrance. Je fermai la bouche et respirai par le nez. Il ne bougeait pas.
    
    — Sale chienne, je ne comptais pas te casser le cul immédiatement, mais vu que tu étais déjà un peu ouverte, j’ai pas pu résister.
    
    Il retira sa queue jusqu’au gland et la réintroduisit avec la même vigueur.
    
    Et il me pilonna à une allure effrénée. Encore et encore. Ses mains appuyées sur mes hanches, ...
    ... il me labourait le fion comme un dégénéré. La tête relevée et le dos cambré, mes genoux posés au sol me faisaient mal, devant supporter nos deux poids. Mes lèvres étaient closes et ne proféraient aucun son.
    
    Mais mes yeux, plissés par la douleur, commençaient à se couvrir de larmes.
    
    — Sale pute ! Tu n’es plus à l’abri derrière ton ordi maintenant, à t’amuser à envoyer des photos en tenue de salope. Je vais te défoncer comme la chienne que tu es. Je vais détruire ton petit cul. Et ensuite, ce sera ta gorge. Tu restes avec moi jusqu’à demain soir, et quand tu repartiras, tu sauras ce que c’est d’avoir ses trous ouverts et béants. Et je te garantis que tu en redemanderas. Crois-moi, tu es destiné à servir de garage à bites. Et c’est ce que tu vas devenir. On est d’accord ?
    
    — Hh... Oui... Hh... Oui... Monsieur !
    
    — Tu as mal ?
    
    — Hh... Oui, Monsieur.
    
    — Tu veux que j’arrête ?
    
    Je me mis à pleurer à chaudes larmes et répondis:
    
    — Non, Monsieur ! Enculez-moi ! Je suis qu’une sale connasse de pute. Baisez mon cul !
    
    — Le mot magique ?
    
    —..... Encooooore !!!
    
    ... A suivre... 
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