Je suis devenu Sabrina la putain (2)
Datte: 27/05/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Demoniak, Source: Xstory
... la position, respirant par le nez pour ne pas étouffer.
— Bien, je suppose que tu as compris ce qu’il en était désormais ? Je n’ai pas besoin de te faire un dessin. J’ai beau être vieux, je sais exactement, et toi aussi, ce que l’on peut faire grâce à internet et aux réseaux sociaux. Sans entrer dans les détails, je mentionnerai les mots "famille", "amis", "boulot", "voisins". Je continue ?
Affolée, je fis signe que non de la tête.
— Bon, je vais relâcher ta tête, mais je ne veux pas que tu fasses d’esclandre. Tu gardes ta position de chienne, à mes pieds. Tu ne parles pas. Tu m’écoutes et ne réponds que quand je te pose une question. Compris ?
Effondrée, je fis signe que oui de la tête.
La pression de sa main se relâcha, et je pus enfin retirer ma bouche de son mandrin, luisant de ma salive. Je remplis mes poumons d’air, et il commença à parler.
— Je me rends compte que tu n’as pas d’expérience. La pipe que tu viens de me faire était, disons, banale. Pas désagréable, mais banale ; juste bonne à me garder excité, sans plus. Mais le bon côté de la chose, c’est que je vais pouvoir formater ton pharynx et ton larynx. Et je vais y prendre beaucoup de plaisir, car il n’y a pas mieux qu’une gorge étroite que l’on élargit en rentrant de force. Ce sera dur pour toi, pendant quelque temps ; tu auras mal, mais ça passera. Je te promets qu’en seulement quelques jours, tu me mangers la bite entière sans aide extérieure. Et de plus, tu en redemanderas, tu me ...
... supplieras de te laisser me sucer. Tu comprends ?
J’acquiesçai d’un mouvement de tête. Il me gifla.
— Tu comprends ?
— Oui, Monsieur.
— Bien ! Montre-moi ton cul !
Je me retournai, et toujours à quatre pattes, lui présentai mon postérieur. Il posa une main sur chacune de mes fesses, qu’il parvenait à recouvrir entièrement, et les malaxa.
— Hmmm ! Ca, j’adore ! Un bon cul de salope, bien blanc et épilé, petit et ferme à la fois.
Une claque phénoménale s’abattit sur ma fesse gauche. Un son sec et bruyant résonna dans le salon. Une décharge électrique me traversa le corps, et me fis frissonner pendant quelques secondes. (Putatn, ça fait mal !)
La douleur n’avait pas encore disparu lorsque je sentis ses pouces se placer de part et d’autre de mon sphincter pour tenter de l’ouvrir. Il tira de chaque côté, et mon trou du cul, entraîné par le gode, ne résista pas. Il réussit sans difficulté à y introduire la première phalange de chacun de ses doigts.
— Oooh ! Je me suis à moitié trompé à ce que je vois. Ton cul a de l’expérience, contrairement à ta gorge. Tu utilises donc un gode ?
— Oui, Monsieur !
— Et tu te fais des lavements ?
— Oui, Monsieur ! Tous les jours !
— Bien ! Intéressant ! De quelle largeur est ton gode ?
— Quatre centimètres et demi, monsieur.
— Voyons voir ça !
Il relâcha mes fesses, et j’entendis le canapé crisser alors qu’il se relevait. Il posa ses mains sur mon dos. Son poids me fis rabaisser les épaules, ma tête touchait ...