1. Cas clinique


    Datte: 27/05/2023, Catégories: fh, hplusag, frousses, médical, nympho, amour, fsoumise, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, mélo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... pourquoi, comment ? Jérôme lui raconte alors les conditions de la conception de son cobaye, assez peu ordinaires.
    
    — Peut-être que les conditions de vie du père biologique dans les mois qui ont précédé auraient pu modifier son équilibre hormonal ?
    — C’est possible, mais de là à influer sur les gènes de ses spermatozoïdes… Pour en être certain, il faudrait rechercher une anomalie génétique chez le cobaye, mais aussi chez ses deux parents. Et en l’occurrence, cela risque d’être difficile.
    — Je vais essayer.
    
    Pour la maman, ce n’est pas très compliqué. Jérôme se fait envoyer un prélèvement sanguin par le centre où est traitée la mère de Mathilde. Cette dernière est assez enthousiasmée par le projet de rechercher son père biologique. Elle passe beaucoup de temps sur Internet et à la Grande Bibliothèque. Après des semaines de recherches et de croisement des informations, elle finit par se faire une certitude : le navigateur irlandais « malchanceux » du Golden Globe s’appelle Mike Rosoft. Irlandais du nord, il a été anobli par la Reine pour son exploit, bien qu’étant arrivé près de deux mois après les autres sur un bateau de sa conception complètement rafistolé. « Il a été récompensé pour son courage, sa ténacité et sa débrouillardise », citent les journaux de l’époque. Il faut ensuite passer une bonne cinquantaine de coups de fil, aux diverses sociétés de yachting, qui n’ont que de vagues indications, aux comtés, aux districts et enfin aux paroisses pour retrouver la trace ...
    ... du navigateur. Enfin, on suppose l’avoir localisé puisqu’il existe un Rosoft Manor sur la côte sud-est de l’Eire, mais il faudra attendre les congés de Jérôme pour entreprendre le voyage.
    
    Et Mathilde n’a pas que cela à faire, puisqu’elle prépare son concours, sous la tutelle ferme de Françoise. Pour la préparer à l’oral, celle-ci décide de lui faire vivre quelques journées d’une infirmière, au moins elle saura justifier son choix et surtout de quoi il retourne en réalité. Elle la fait inscrire à Pôle-Emploi pour qu’elle ait un statut légal, avec un stage d’immersion en entreprise. Première étape, deux jours à accompagner une de ses copines infirmières à domicile. Des kilomètres depuis six heures du matin jusqu’à dix-neuf ou vingt heures, selon la circulation, à toiletter les petits vieux, changer des pansements, faire des prises de sang. Un intérêt, le contact humain, mais une énorme contrainte, le chronomètre. Tout temps passé à parler et réconforter se traduit immédiatement en une course effrénée contre la montre. Ensuite, deux jours avec une équipe de l’hôpital qui, en gros, fait la même chose, mais en courant à travers d’interminables couloirs. Plus les appels, le beeper, la garde de nuit qu’elle effectue aussi. Enfin, pour terminer la semaine en beauté, c’est une journée aux urgences avec elle, dans le bloc opératoire où œuvre son preux chevalier. Pas de doute que si elle ne sort pas vomir, elle est faite pour ce métier. Et elle a des occasions ce jour-là qui, comme un ...
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