1. Le préparateur 02


    Datte: 08/09/2018, Catégories: f, h, fh, jeunes, Auteur: FloreanMC, Source: Revebebe

    ... » La demoiselle se déshabille, sa robe légère tombe à ses pieds.
    
    — Je dénude ma poitrine ?
    
    L’occasion est trop belle. Des seins pareils, ça ne se manque pas !
    
    — Oui, je vous prie.
    
    Elle porte une culotte blanche d’écolière, et un soutien-gorge blanc opaque, qu’elle ôte sans sourciller. J’admire ses seins de belle taille : deux beaux melons pâles aux aréoles rose tendre, bien ronds, bien pleins. Je frissonne d’anticipation. Elle s’approche de moi, ce qui n’est pas prévu du tout. Elle prend ses seins dans ses mains et les soumet à ma vue.
    
    — Vous les trouvez beaux ?
    
    Mon cœur manque un battement. Je ne sais plus où me foutre.
    
    — Je… oui, bien sûr, ils sont très…
    
    Elle sourit.
    
    — Dites-moi ce que vous voudriez me faire si… si je vous laissais faire.
    
    « Parle-lui. » : OK, je comprends ce que ma mère voulait dire.
    
    La petite Ingrid vient tout contre moi.
    
    — Dites-moi tout…
    
    Il y a de la langueur dans sa voix. Je ne sais pas faire ça ! Qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui raconter ? La vérité ? La vérité. Évidemment, la vérité.
    
    — Si vous me laissiez faire… je… je caresserais vos seins… j’essaierais d’en faire darder les pointes en les roulant entre mes doigts… Ils sont si gros, ils ont l’air si doux… J’en admirerais les mamelons qui rosiraient à mesure que mes doigts les pinceraient…
    
    Elle glisse la main dans sa culotte sans me quitter des yeux.
    
    — Continuez…
    
    Un dragon s’éveille dans mon ventre.
    
    — Je vous embrasserais. Vous avez une ...
    ... jolie bouche, j’aime vos lèvres d’un rose si pâle qu’il en est presque blanc. Oui, je vous embrasserais longtemps, en espérant que vous me rendiez le baiser, en espérant sentir votre petite langue venir chercher la mienne, en espérant vous entendre gémir de mes attentions.
    
    Elle serre les cuisses à mesure que sa main s’agite dans sa culotte. Sa voix est presque plaintive.
    
    — Encore…
    — Je baisserais votre culotte, centimètre par centimètre. Je vous ferais asseoir sur la table, placerais vos pieds nus sur les étriers, et vous ferais l’amour…
    — Faites-le.
    
    Je sursaute.
    
    — Quoi ?
    — Embrassez-moi.
    
    C’est fou !
    
    Nos lèvres se collent, délicatement. Sa petite langue répond à la mienne ; j’ai le vertige, mes mains montent de ses hanches jusqu’à ses seins et se délectent du contact des pointes qui dardent au rythme de sa respiration.
    
    Elle se frotte le minou intensément. Le dragon dans mon ventre hurle de désir. J’oublie la pièce ensoleillée, j’oublie ma mère de l’autre côté de la porte : toute mon âme est dans le contact de ces deux melons d’eau si lourds et doux dans mes paumes, de ces tétons élastiques entre mes doigts, de ce baiser profond qu’elle m’offre, de ces cheveux blonds qui effleurent mes joues.
    
    L’éternité est dans ce moment.
    
    Sa main glisse dans mon pantalon d’un geste si fluide que je ne la sens que lorsqu’elle empoigne mon sexe engoncé dans les plis du jean pourtant moins serré que la semaine passée. Elle soupire et gémit, je n’ose bouger ; je sais que ...
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