1. Les Directives du Directeur


    Datte: 25/05/2023, Catégories: Contrôle Mental, Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... illustrations amusantes, jeune demoiselle ? » demanda Burns.
    
    Cindy y réfléchit une seconde -- qu'est-ce que ce nul pouvait lui faire ? Ce n'était pas un crime de trouver des graffitis amusants -- et ce n'était pas elle qui les avait dessinés...
    
    « Oui -- oui je les trouve plutôt drôles, Monsieur Burns, » dit-elle, en le défiant du regard. « Je ne les pas dessinés, et je ne sais pas qui les a tracés, mais je pense qu'ils sont formidables... et drôles... vous allez me donner une punition pour ça ? » elle s'adossa à sa chaise, sûre d'elle et très heureuse de remettre Burns à sa place. Il avait peut-être le titre de directeur, mais ce n'était rien d'autre qu'un trou du cul et un minable, et c'était génial de pouvoir lui dire en face...
    
    Surtout après les saloperies qu'il avait dit à Cathy. Sa grande sœur aurait dû lui botter les fesses...
    
    Cependant, Burns restait calme : « Une punition, jeune demoiselle ? ça peut vous arriver plus vite que vous ne le pensez... »
    
    Le directeur sortit sa pierre Minvari et joua avec. Cindy continuait à afficher sa morgue... jusqu'à ce que ses yeux croisent le maléfice distillé par la petite pièce verte.
    
    ***
    
    Cathy était assise en face de son fiancé, Richard Harrignton III, dans un café huppé de Berverly Hills. Richard avait dix ans de plus et était un avocat d'affaires richissime et recherché... Comme son père et son grand-père avant lui. Trois générations de riches républicains pur jus.
    
    « Cathy, cette tenue ne serait-elle pas ...
    ... trop osée pour une enseignante ? demanda-t-il d'un ton désapprobateur. Richard était celui qui avait poussé Cathy à quitter le mannequina, pour adopter un métier plus honorable... et professeure, avait-il pensé, était un métier suffisamment respectable pour sa future femme. Sauf si elle avait l'intention de s'habiller de façon à ce que ses élèves bourrés d'hormones se masturbent en pensant à elle.
    
    Cathy déglutit et pendant un instant fugace envisagea de ne pas réciter les phrases que Burns lui avait gravées dans le crâne... mais cette pensée éphémère fut suffisante pour qu'une lame coupante de peur s'enfonce dans son cœur.
    
    « Eh bien, Richard, j'aime que les hommes me regardent, qu'ils me matent... même mes élèves... surtout mes élèves, quoi de mal à ça ? J'adore ça... Alors je fais de mon mieux pour capter leur attention...
    
    « Mais, qu'est-ce qui te prend? » s'indigna Richard.
    
    « Tu m'as comprise... J'aime que les élèves me déshabillent des yeux, aient envie de me violer en me voyant... Que tous les hommes veulent me violer... j'aime qu'ils bandent sur moi... c'est ça que j'aimais quand j'étais mannequin...
    
    — Doux Jésus ! cria Richard.
    
    — Et je m'emmerde avec toi Richard... C'est pour ça que je suis venu ; pour te le dire en face. Je te largue, je vais prendre mon pied sans toi...
    
    — Qu'est-ce qui te prend ? » marmonna Richard reposant son verre de vin sur la table.
    
    Mais Cathy n'était pas d'humeur à écouter les objections de Richard. Elle était déjà debout. ...
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